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 Première leçon.. [élève de cinq, six, septième années, toutes maisons. ]

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MessageSujet: Re: Première leçon.. [élève de cinq, six, septième années, toutes maisons. ]   Première leçon.. [élève de cinq, six, septième années, toutes maisons. ] - Page 2 Icon_minitimeJeu 4 Aoû - 14:19

Le réveil avait toujours été très difficile : les yeux papillonnaient, les lèvres s'étiraient et s'ouvraient pour laisser échapper un bâillement, puis les poings fermés vinrent frotter vigoureusement les paupières en espérant que cela aiderait à se réveiller. Sylviana resta un moment allongée, contemplant le plafond du dortoir et écoutant les respirations encore calmes et sereines de ses camarades de dortoir. Il était encore un peu tôt mais elle était réglée comme une horloge, impossible pour elle de dormir plus longtemps. Cinq heures du matin et puis c'est tout.

D'un geste ample, elle repoussa les couvertures et s'assit sur le lit, les pieds posés sur le parquet vieilli. Elle aimait cette sensation, ce n'était pas comme chez elle du carrelage froid qui lui donnait un horrible frisson dès le matin, et ne la mettant pas particulièrement de bonne humeur. Alors oui, on pouvait dire qu'elle s'était levée du bon pied ce matin, même si son visage n'exprimait pas la moindre expression, comme à son habitude. Lentement et sur la pointe des pieds, elle alla dans la salle de bain pour se préparer, jetant un sortilège d'insonorisation pour ne pas réveiller les filles avec le bruit de l'eau qui coule. Cependant, elle rentrait à chaque fois avec un objet plutôt insolite pour se genre d'endroit. Une sorte de thermos rempli de café, un liquide précieux qu'elle affectionnait particulièrement et qu'elle réchauffait d'une coup de baguette. Ainsi, elle prenait un long bain, tranquillement, une tasse de café dans une main, et son éternel cigarette du matin. C'était son petit plaisir de la journée. Et puis, personne ne s'occupait d'elle à cette heure là. Un autre sortilège pour évacuer l'odeur et hop, ni vu, ni connu.

Propre et détendue, elle quitta la tour des Serdaigles et ne se dirigea non pas vers la grande salle mais dans le parc. Personne à l'horizon, pas un chat ... c'était parfait. Sissi adorait cette solitude, ce calme. Pour elle qui était du genre discrète et peu bavarde, pour ne pas dire pas du tout altruiste, c'était le paradis sur terre. Les premiers rayons du soleil venait caresser sa peau porcelaine, et la jeune russe ferma les yeux, appréciant cette douce chaleur sur son corps de glace. Combien de fois lui avait-on dit qu'elle était froide, hautaine, la princesse des Glaces, aussi froide que son pays natal. Héra aimait souvent le lui rappeler. A cette pensée, un léger sourire à peine perceptible dérida un peu son visage, mais hélas, personne n'était là pour contempler ce sourire qui était rare, pour ne pas dire inexistant chez elle. Et pourtant cela lui allait tellement bien ...

Combien de temps elle resta là, seule ? Peu importe mais il allait bientôt être l'heure d'aller en cours. D'une démarche lente, droite et fière, elle monta les escaliers en serrant ses livres contre sa poitrine. Seule encore une fois. Peu de personnes osaient l'aborder, trouvant ses airs peu engageants, et ils n'avaient pas tout à fait tort. "Pourquoi tu n'as pas été à Serpentard ?" ... La question revenait souvent sur les lèvres, et Sylviana gardait la réponse pour elle. "Je pense que la maison dans laquelle je vais vous envoyer vous aidera à utiliser cette intelligence autrement", ainsi avait parlé le choixpeau. Avait-il peur qu'elle tourne mal ? Elle se posait sans cesse la question, encore aujourd'hui. Perdue dans ses pensées, elle arriva rapidement devant la salle de cours où plusieurs élèves attendaient déjà. Il y avait évidemment Lily Evans, connue pour son intelligence et sa vivacité mais aussi - hélas pour elle - pour sa relation avec James Potter. Enfin, "relation". Disons que les efforts du maraudeur pour séduire la belle n'étaient vraiment pas discrets. Mais la donne avait changé, n'est-ce pas ? En parlant des maraudeurs ... Sissi se mit dans un coin un peu à l'écart pour ne pas se faire remarquer. Sirius Black, évidemment. Toujours à la provoquer, à la chercher, à lui faire dépasser ses limites. Parfois, elle manquait de s'énerver vraiment, de laisser tomber le masque de marbre pour laisser la colère exploser. Mais elle avait toujours conservé son air froid, bien qu'elle est répondu plusieurs fois à ses défis ...

Puis la porte s'ouvrit dans un grand fracas, ce qui lui fit froncer les sourcils. Depuis quand le professeur Binns était-il d'une telle violence ? ... La poussière dissimulait l'intérieur de la pièce, et quand elle retomba, elle vit non pas ledit professeur mais une femme assise avec une telle nonchalante qu'elle se demandait si c'était belle et bien une prof. Sans un mot, elle franchit les quelques pas qui la séparaient de la salle et entrant dans le cours réputé pour être le plus ennuyeux de tout Poudlard. Mais vu le désordre et la décoration actuelle, cela allait changer, mais pas forcement du coté positif. Sylviana avait un mauvais pressentiment, alors elle s'installa avec un peu de réserve, à l'écart des autres toujours. Quelques minutes plus tard, deux personnes entrèrent et elle se fit encore plus petite que tout à l'heure. Jason ... Il avait un don pour la mettre dans l’embarras, après ce qu'il s'était passé deux ans auparavant. Enfin, il ne l'avait pas vu, et la princesse russe poussa un imperceptible soupir de soulagement.

- Bonjour à tous, jeunes élèves de Poudlard.

Sylviana fronça une fois de plus les sourcils. La courbette et le ton qu'avait employé cette prof ne lui inspirait rien de bon, et sa méfiance augmenta d'un cran. Ainsi, elle s'appelait Bellatrix Black ... n'était-ce pas la cousine de Sirius Black ? Rien de bon ... Son instinct ne lui avait pas menti et finit de la convaincre : "apprendre la vérité, toute la vérité" ... Bins le faisait déja bien - d'une façon monotone, certes mais très exacte. Une feuille de parchemin s'envola gracieusement dans les airs pour se poser devant elle. Lorsqu'elle le lut, elle crut halluciner.

- Des questions ?

La voix enfantine faillit la sortir de ses gongs. Comment osait-elle ? Dumbledore ne pouvait tolérer un tel racisme. Sissi resta pendant de longues secondes sans rien faire, observant ce simple mot "sang" ... un mot qui prenait de plus en plus d'importance dans le monde de la sorcellerie. Et elle, elle avait un père de sang pur, une lignée russe très reconnue dans les pays slaves, moins en Angleterre. Et sa mère, une "sang de bourbe" comme dirait certaines personnes. Sissi n'avait pas d'opinion sur le sujet, elle appréciait sa mère - on ne pouvait pas vraiment dire qu'elle avait une relation fusionnelle avec ses parents - mais elle aurait quand même voulu que son sang soit pur. Une solution de facilité, Sylviana n'était pas très courageuse, rusée oui, intelligente oui, réfléchie oui, cela compensait un peu, mais elle choisissait toujours la solution de facilité, sans aller dans les extrêmes bien sûr.

Ses doigts longs et fins saisirent la plume d'oie, trempèrent la pointe dans l'encre noir et écrivirent avec une jolie calligraphie.

NOM : Dimitriev
PRÉNOM : Sylviana
SANG : Mêlé
PROFESSION DES PARENTS :
- Père : langue de plomb
- Mère : chef adjointe de Sainte Mangouste.


Maintenant, il n'y avait plus qu'à attendre. En attendant, elle regarda la réaction des autres : certains étaient angoissés, d'autres appréciaient, et il y en avait qui gardait la tête baisse, n'osant lever les yeux. Qu'allait donner ce cours ...
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MessageSujet: Re: Première leçon.. [élève de cinq, six, septième années, toutes maisons. ]   Première leçon.. [élève de cinq, six, septième années, toutes maisons. ] - Page 2 Icon_minitimeJeu 4 Aoû - 16:28

    Ce matin là, la nippone eut plus de mal qu'habituellement à sortir des bras de Morphée. La veille, elle s'était couchée tard, n'ayant pas vu le temps défilé, bien trop concentrée sur son devoir de botanique. Cinquante cinq centimètre de parchemin sur les voltiflors en expliquant entre autre comment différencié cette plante d'un filet du diable. Du coup, lorsqu'un réveil se fit entendre dans le dortoir, la jeune femme ne l'entendit pas, encore plongée dans le pays des rêves. Ce n'est qu'une vingtaine de minute plus tard qu'elle daigna ouvrir les yeux et en découvrant le dortoir vide elle s'affola et sauta hors de son lit afin de se rendre dans la salle de bain pour une douche rapide afin de débuter correctement cette nouvelle journée de cours. Alors qu'elle s'apprêtait à ouvrir la porte de la pièce, Isabelle en sortie déjà coiffée habillée et maquillée. Après lui avoir adressé un « Bonjour ! » rapide accompagnée d'un sourire, Ayako s'enferma a son tour dans la salle de bain et se prépara en vitesse afin de pouvoir rejoindre la Grande Salle pour se remplir l'estomac avant le début des cours.

    Une fois prête, la sixième année s'empara de son sac et vérifia le contenu de ce dernier avant de glisser sa baguette à l'emplacement prévu pour sur sa ceinture et elle dévala les escaliers, traversa la salle commune au pas de course et après avoir franchit le tableau de la Grosse Dame elle entama une course contre la montre dans les couloirs et les escaliers qui pour une fois semblèrent être de son côté car ils ne firent pas de caprices, bougeant sans arrêt afin de la retarder davantage. La chance semblait être de son côté. En arrivant dans le hall elle ralenti l'allure et repris son souffle avant de franchir les portes de la Grande Salle, les joues encore légèrement rougit par l'effort. Pile à l'heure pour le courrier ! Sa chouette vint se poser sur son épaule avec un hululement joyeux alors qu'elle avançait à la recherche de ces camarades. Une fois assise elle prit la lettre attachée à la patte de l'animal et récompensa cette dernière en lui offrant un morceau de toast puis après s'être désaltérée dans le verre de jus de citrouille que sa maîtresse venait de se servir Yuki s'envola à nouveau, mordillant aux passages les doigts de la Japonaise pour lui montrer son affection.

    Le ventre plein, Ayako se dirigea ensuite vers le premier étage, se réjouissant de ce cours d'Histoire de la Magie durant lequel elle pourrait encore jouer à la commère en compagnie de sa camarade de Poufsouffle, Amélia Bones. Ce cours si ennuyeux aux yeux des élèves était un réel plaisir pour la demoiselle. Ce matin là, elle était bien loin de se douter de ce qui attendait les élèves ! C'est pourquoi elle n put s'empêcher de sursauter violemment alors que la porte de la salle de classe s'ouvrit avec fracas, soulevant un nuage de poussière. Que se passe-t-il ? Jamais le professeur Binns ne s'est comporté ainsi ! D'ailleurs, la porte n'est jamais fermée habituellement... Les élèves prenaient place et l'enseignant fantôme faisait son apparition alors que la sonnerie se faisait entendre dans le château en traversant le mur. Un peu inquiète, la demoiselle entra à la suite des autres dans la pièce, observant la nouvelle décoration et la femme debout face à eux avec une moue légèrement contrariée tout en s'installant à sa place habituelle. Visiblement, les commérages devront attendre un autre moment, l'enseignante ne semble pas avoir le même caractère pacifique que « l'ancien » professeur d'Histoire. Ses sourcils se froncèrent, faisant apparaitre une ride sur son front alors que la femme se présentait et leur servait un petit monologue avant de faire voler des feuilles vers chaque élèves, les priant de répondre aux questionnaires. C'est ce que la nippone fit, une moue désapprobatrice se dessinant sur son visage aux fur et a mesure des questions.

    Nom: Nakajima
    Prénom: Ayako
    Sang: Pur
    Profession parents: Père Auror, mère Médicomage; service 'Blessures par créatures vivantes'

    L'enseignante repris la parole, voulant savoir si des questions leur trottaient en tête et une voix se fit entendre, questionnant Bellatrix sur le pourquoi de ces deux dernières questions. Quelle est l'importance du sang ou des métiers exercées par les parents ? Intéressée par le sujet la demoiselle posa ses yeux sur le professeur, attendant une réponse alors qu'une autre voix se faisait entendre, renchérissant comme quoi le sang n'avait aucun rapport avec les capacités intellectuelles des étudiants. Cette dernière remarque fut approuvée par la Gryffondor qui ne pu s'empêcher de hocher la tête, un sourire étirant doucement ses lèvres alors qu'elle attendait impatiemment de voir ce que cette fameuse Bellatrix Black allait bien pouvoir répondre à ceci. Pas sûr que la réponse ne soit à son goût d'ailleurs, vu le petit discours d'introduction et les images accrochées sur les murs...
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MessageSujet: Re: Première leçon.. [élève de cinq, six, septième années, toutes maisons. ]   Première leçon.. [élève de cinq, six, septième années, toutes maisons. ] - Page 2 Icon_minitimeDim 7 Aoû - 17:20

Ce matin en se levant, Amélia Bones n’avait qu’une seule pensée en tête qui était « Ayako Nakajima » et bien sûr, accessoirement, ce qui se liait avec ; « Histoire de la Magie » mais ça, disons que c’était une autre affaire. Ce cours devait être le seul où la jaune et noir n’était pas installée dans les premiers rangs, ne s’appliquait pas à prendre des notes ou même à être attentive au cours. Et pourtant, elle ne culpabilisait pas. Les interminables monologues du professeur Binns, qui résonnaient aux oreilles des élèves sans pour autant qu’ils en comprennent le sens, avaient été remplacés pour Amélia et sa voisine de paillasse par d’interminables bavardages et commérages. C’est pourquoi elle était plutôt enjouée en se levant le matin et en rejoignant sa salle de cours car elle savait que, l’attendait à leurs places habituelles, Ayako, la tête délicatement posée sur son sac de cours, ses prunelles fixant désespérément la porte d’entrée.

Ce matin était comme les autres pour la brunette c’est pourquoi, attrapant uniquement une pomme rouge pour petit déjeuner dans la Grande Salle, elle se hâta de grimper les escaliers et de rejoindre sa salle de cours. En arrivant devant la classe, la porte était grande ouverte et quelques élèves rentraient chacun à leur tour dans la salle. Les vitraux du couloir laissaient passer les faibles rayons matinaux du soleil et ceux-ci illuminaient de nombreuses particules de poussières ce qui fit tousser Amélia. Non vraiment, la poussière, elle détestait ça. C’était peut-être de là que venait le fait qu’elle était aussi maniaque... La sonnerie marquant le début des cours résonna dans tout le château et tira la Poufsouffle de ses réflexions. N’étant jamais arrivée en retard à n’importe quel cours que ce soit, elle courut jusqu’à l’intérieur de la salle de classe où derrière elle, la porte se referma brusquement sur le couloir. Elle ne prit même pas la peine de se demander pourquoi la porte s’était-elle ainsi fermée tant elle devait se remettre de son « mini-exploit ».

« - Pfiou, je l’ai eu chaud… »

Elle se retourna et dû cligner plusieurs fois des paupières pour être sûre qu’elle ne rêvait pas. Au départ, elle pensait s’être trompée de classe mais ensuite, elle aperçut Belle et un peu plus loin Ayako. Elle s’empressa de les rejoindre et vit alors une jeune femme à la place du fantôme. Sans savoir pourquoi, quelque chose dans l’aspect de cette femme lui intima de se taire et de rester tranquille, de ne pas poser ses habituelles questions et d’être attentive sans pour autant jouer les intellos.

Après le discours de la nouvelle prof, elle observa les autres, ses camarades. Ils étaient tous figés et aucun n’avait fait d’écart appart ceux qu’on appelait les « maraudeurs » qui s’étaient permis quelques remarques et une autre Gryffondor qui avait déstabilisé tout le monde. Ils n’avaient pas tort mais oser dire tout haut ce qu’ils pensaient tout bas, il leur fallait un sacré courage. Ils portaient bien les couleurs de leur maison tout compte fait. Elle vit alors ses camarades s’exécuter à remplir le petit parchemin que la nouvelle enseignante avait donné et qui provoquait tant de réticences. Voyant qu’elle était à la traine, elle se hâta de le remplir, elle aussi.

    Nom : Bones
    Prénom : Amélia
    Sang : mêlé
    Profession des parents : Une mère puéricultrice et un père travaillant au ministère de la magie.


La jaune et noir déposa ensuite sa plume et pivota légèrement vers son amie qui, comme elle, n’avait osé prononcer un seul mot, ce qui était pourtant leur loisir favori. Elle lui lança un regard pour lui faire comprendre ce qu’elle pensait de tout ça et reporta ensuite son attention sur Bellatrix Black qui ne tarderait pas à reprendre la parole.

Ce qu'elle en pensait ? Tout cela n’annonçait vraiment rien de bon.


Dernière édition par Amélia Bones le Lun 26 Sep - 15:52, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Première leçon.. [élève de cinq, six, septième années, toutes maisons. ]   Première leçon.. [élève de cinq, six, septième années, toutes maisons. ] - Page 2 Icon_minitimeLun 8 Aoû - 7:27

Le soleil se levé sur le château. Pour autant la journée ne semblait pas être glorieuse. Héra se sentait étrangement absente quand elle posa pied à terre pour éteindre son réveil. Ses pensées étaient aussi troubles que le Mékong pendant la mousson. Ses neurones ressemblaient à une nébuleuses, même ils ne semblaient pas être connecté, certains même semblaient ne pas être formé. La jeune Serpentard sauta finalement du lit après des pensées sans intérêt. Elle enfila sa tenue de sport et comme chaque matin elle se donna au plaisir de la course à pied dans le parc du château. Elle prit soin de bien se couvrir, car il commençait à faire de plus en plus froid. L'automne c'était bien installé. Alors que ma verte et argent courrait sur sur les dalles de l'allé dans en cadence régulière, ses pensées elles courraient comme folles vers la natures. Les feuilles dorées et rouge lui donnait la paix. Plus de stratégie, plus de folle pensées pour resté en au du panier. Non, juste elle, elle et la nature de ce mois d'octobre. Un vent glacé caressa ses joues et puis finalement après la paix intérieur troublé par le réveil des autres élèves, elle rentra au cachots des serpents. Cela lui était toujours désagréable de revenir dans ce lieu sombre et humides. Heureusement que certaine personne qui s'y prélassé amené parfois un peu de chaleur car sinon, on ne la verrait jamais ici. Elle avait son lieu à elle pour se reposé, plus claire, plus doux, plus calme.

Après une bonne douche, Héra passa son uniforme. Elle brossa ensuite ses cheveux et les tira en arrière dans un chignon stricte lui donnait un air sérieux selon certains angles, hautain selon d'autre, ou encore un visage fermé, froid. Ce froid qu'offrait aujourd'hui son visage était souligné par la délicate couleur de ses yeux gris brumeux. Aussi trouble que son esprit en ce jour. Une chose est sûr, aujourd'hui les élèves pouvaient être tranquille, son esprit était accaparé par quelque chose d'autre que ses plans, son échiquier ... Peut être par une émotion ? Sa toilette terminé elle se dirigea vers la grand salle pour assisté au traditionnel petit déjeuné. Elle croisa quelque connaissance, discuta un peu à gauche et à droite et trouva même son frère. Tous deux étaient tombés nez à nez. Leurs regards se sont heurtés, un bonjour fut échangé et puis tous deux continuèrent leur route. Ils allaient pourtant dans la même direction mais bon. Elle remarqua que son frère tenait une lettre dans sa main. Peut être une lettre de la par de leur parents pour tous les deux qu'il n'osait pas donner. Peut importe. Les nouvelles de leurs "mère" ne l'intéressé pas, après tous c'est elle qui avait tous gâché, c'est elle qui avait tous ruiné, qui l'avait, par sa présence, par son sang, condamné à vivre rejeté par les siens, par cette famille qui la fasciné tant.

Après un petit déjeuné avalé en vitesse : un verre de jus de citrouille et deux pommes, Héra se dirigea comme les autres septièmes années vers le cours d'Histoire de la Magie. C'était étrange de se retrouvaient tous ensemble pour un cours car Héra avait entendu dire que se serait un cour commun avec les cinquièmes et sixièmes années. Pas que ça l'a dérangés de voir leurs petites têtes mais n'avaient ils pas manqués des choses par rapport à eux ? L'esprit d'analyse de la jeune Serpentard semblait revenir petit à petit. Surement avait elle juste mal dormit la nuit dernière et qu'avoir quelque chose dans le ventre lui avait permit de redémarrer ses fonctions vitales.

Alors qu'Héra entrait dans la classe elle fut frapper de voir qui s'y trouvait. Comment ne pas la connaitre ? Comment ne pas savoir son nom, il était aussi respecté que craint par sa famille en Grèce. Elle ne rêvait pas, elle connaissait ce visage, elle l'avait vu sur des photos, elle l'avait imaginé dans des récits oraux que lui faisait les Agnodices. La familles Black était pour les Agnodice leur égale en Grand Bretagne. Prestigieuse, ancienne et pur... Héra connaissait aussi les murmures qui se faufilaient aux oreilles des plus imprudents. Bellatrix Black aussi folle qu'une Sirène qui n'aurait pas vu d'eau pendant 5jours et la voix tout aussi pressante. Héra eu du respect mais aussi un frisson. Cette femme, quoi que connu, et admiré ne lui disait rien de bon. Ce n'était pas son intuition, mais juste ses observations. La jeune Serpentard remarqua les cousins de la "prof". Aucun des deux ne semblait avoir été mit au courant. Elle avait surprit tous le monde semblait il. Héra remarqua alors une place libre à côté de son amie d'enfance Sylviana, la blonde au visage de poupée glacé. Elle prit place près d'elle et lui adressa un sourire comme signe de bonjour. Pas besoin de parole futile entre elles, elles savaient se comprendre sans toute les courbettes du langages. Mais vite le regarde de la jeune Serpentard fut de nouveau attirait par la nouvelle enseignante du cours Histoire de la Magie. Elle n'avait pas confiance. Il n'y avait qu'à voir comment elle parlait :


"Bonjour à tous jeunes élèves de Poudlard"

... Comment elle se comporté également. Ses gestes semblait féroces, ils semblaient n'être commandé par aucun esprit lucide. Elle semblait n'avoir aucune limite car son corps, ses paroles, ses faits et gestes semblaient être contrôlé par l'instinct le plus primaire qu'il puisse existé, contrôler par une bestialité déconcertante. Héra avala sa salive. Et écouta la suite. Elle parlait d'apprendre la vrai histoire. Cela rappella à Héra une citation. "L'Histoire est écrite par les vainqueurs". Voulait elle dire qu'on allait parlé de l'histoire du point de vu des vaincus. Cela ne ressemblait certainement pas au personnage. Héra resta alors perplexe et remplit le petit questionnaire.

Nom:Agnodice
Prénom: Héra
Sang: Mêlé
Profession parents:
Père travaillant au Ministère de la Magie en tant qu'Auror.
Mère Guérisseuse dirigeant le service des blessures psychiques magiques

Héra attendit la suite et posa sa plume. Elle sentait que son sang mêlé allait encore lui jouer des tours et sa haine envers sa sang de bourbe de mère lui fit frondé le nez. Ce qui lui donna avec sa coiffure un visage encore plus dure. Après tous son nom avait était bien choisis en ce qui concerne ses colères. Aussi dévastatrices que les éclaires de l'infidèle Zeus, mais beaucoup plus subtil,des blessures plus mentales. Le cour d'Histoire de cette année ne sera surement pas ennuyeux. Au contraire il risque d'être captivant, peut être trop même, presque dangereux...


Dernière édition par Héra Agnodice le Mar 9 Aoû - 8:04, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Première leçon.. [élève de cinq, six, septième années, toutes maisons. ]   Première leçon.. [élève de cinq, six, septième années, toutes maisons. ] - Page 2 Icon_minitimeMar 9 Aoû - 0:41

Orah se réveillait toujours très tôt le matin, pour sa prière, mais aussi par plaisir. Elle aimait voir les filles de son dortoir dormir, elle trouvait cela très apaisant. Elle adorait traîner dans la Salle Commune des Poufsouffle, agencée comme un terrier de blaireaux, qui lui réchauffait tant le cœur. Elle pouvait passer une bonne heure à s'occuper de ses cheveux sous la douche, se déversant des litres de citron dessus pour les éclaircir, lancer une bonne dizaine de sorts sur ses frisottis pour qu'ils disparaissent sans que quiconque la dérange. Elle sortait aussi de la Salle Commune, pour une balade matinale quand le temps n'était pas trop mauvais dans cette Écosse profonde, ou simplement pour se promener dans le château, regarder les personnages des tableaux se réveiller -son esprit de née-moldue trouvait cela particulièrement magique- par exemple.

En ce matin de classe d'Histoire de la Magie, elle n'avait donc eu aucun mal à se lever à 6h30. Elle avait tranquillement pris sa douche, enfilé un jean et un sweat offert par son frère, aux couleurs de l'Université de Cambridge où il était, et elle était partie déjeuner vers 7h30, en pantoufles. Le cours était à 9h, elle avait donc beaucoup de temps devant elle. Elle mangea seule, comme souvent, lentement, si bien qu'elle eut finit vers 8h, alla voir les sabliers de points, Poufsouffle était 3ème malheureusement et redescendit dans son dortoir. Elle changea de vêtements, troqua son sweat pour sa robe de sorcière, enfila ses chaussures à talons noirs et jaunes vernis, qui s'accordait parfaitement avec le blason de Poufsouffle, eu une courte pensée pour son frère qui lui devait être en train d'étudier l'histoire d'Angleterre plutôt que celle de la Magie, mais elle s'ennuyait ferme, elle déçida donc de se rendre devant sa Salle de cours. Elle y croisa plusieurs personnes, des filles principalement, a qui elle adressa quelques regards, non pas qu'elle ne veuille pas leur parler, mais elles étaient plus âgées, et elle n'avait aucune affinités (pour l'instant l'espérait-elle tout de même) avec elles. Elle se prépara mentalement au cours de Binns, qui se promettait être, comme toujours, très ennuyeux. C'était bête d'avoir un prof aussi barbant se disait-elle, elle aurait adoré pouvoir vraiment écouter, s'intéresser au cours et en apprendre plus sur ce monde qu'elle ne connaissait pas, mais elle n'y arrivait pas … Ce professeur Binns d'ailleurs, il commençait à prendre un certain temps pour ouvrir la porte, la cloche avait sonné depuis un bon bout de temps …
Quelques minutes après ladite sonnerie, la porte s'ouvrit très brutalement, dégageant un nuage de poussière. Encore plus étonnant de la part de son professeur, d'ordinaire si calme et reposé, et tout le monde paraissait être aussi étonné qu'elle ! Elle entendit beaucoup de chuchotements, dont un en particulier qui l'étonna :

Tu captes pas, la prof, c'est ma cousine !

qui avait été prononcé par le beau Sirius Black.
Orah était en train de s'assoir quand elle entendit cette phrase, et prit donc le temps d'observer son … professeur, qui avait complètement changé de tête, et même d'état... Il était passé de mort à vivant, d'homme à femme, de vieux à enfantin. Il était passé de Binns à Black. Orah écoutait d'une seule oreille le discours de sa nouvelle professeur, mais n'en imagina pas moins le contenu quand elle remarqua tous les nouveaux tableaux accrochés sur les murs. Des gobelins assassinés, un arbre généalogique, qui regroupait plusieurs famille, des sang-purs donc (les sorciers n'avaient jamais entendu donc parlé de la consanguinité ?). Cette femme était complètement raciste, pas besoin d'être un génie pour le comprendre … Le formulaire qu'elle leur fit passer ne faisait qu'appuyer ses pensées … Elle le remplit en vitesse, ne voulant pas s'attirer d'ennuis :

Citation :
Nom : Caleb
Prénom : Orah
Sang : Née-Moldue
Profession des parents : Père et mère : Patrons d'un grand restaurant.

Il y eu quelques remarques dans la classe, qu'Orah trouvait très courageuses :

- Pourquoi la profession de nos parents et notre sang vous importent-ils à ce point, professeur?
-Sauf votre respect, c’est complètement stupide. Le sang n’influence en rien les capacités d’apprentissage d’un élève. Mais vous êtes professeur, vous devriez savoir cela…,


Très courageuses, parce qu'en effet, Miss Bellattrix Black faisait peur à Orah, elle avait un air de folle échappée de son hôpital psychiatrique ... Elle avait des allures bestiales, grotesques et enfantines, le tout mélangé. Orah les sentait bien, les futurs cours d'histoire de la magie... Elle entendit aussi un ricanement, qui émanait de la table de Regulus Black, qui paraissait jubiler devant son formulaire.

Orah ne comprenait pas comment un directeur comme Dumbledore avait pu la laisser rentrer à Poudlard, surtout à ce post. N'importe lequel, sauf peut-être défense contre les forces du mal, aurait pu être mieux ... Orah sentait que dûe à sa condition de née moldue, elle allait (encore) en pâtir à cause des ces cours ... 3 mots revenaient souvent dans la tête d'Orah : Lavage de cerveaux ...
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MessageSujet: Re: Première leçon.. [élève de cinq, six, septième années, toutes maisons. ]   Première leçon.. [élève de cinq, six, septième années, toutes maisons. ] - Page 2 Icon_minitimeMar 9 Aoû - 8:20

Réveil matin six heure Kalisz se lève comme une fleur, pas de panique, ce n’est pas un drame juste une habitude. Car comme tout les matin de toutes les saisons, le jeune rouge et or aller courir. Hobbies familials ? Vous avez tout compris ! Après cette séance de sport quotidienne et une bonne douche. Ce fut l’heure du petit déjeuné. A la table il se réunit avec la plupart de ses amis. Et puis il se souvint du cour qu’il avait ce matin : le cour d’Histoire de la Magie. Pour lui c’était vraiment une plaie ! Ce n’était pas pour rien qu’il avait un professeur particulier dans cette matière. Il était une vraie tarte à la citrouille. Pourtant il ne détesté pas l’Histoire. C’est juste qu’il pensait qu’on avait pas besoin de cour pour ça, surtout quand on à un professeur aussi ennuyant et monotone que Binns. Et puis pas besoin de connaître qui a découvert les Strangulots. Selon Kalisz ce qui importait c’était de connaître les erreurs que les sorciers avaient fait pour ne plus que cela se reproduise. Comme ce que lui avait montrer Perséphone à la bibliothèque. En pensant à elle il ne put s’empêché de regardait vers la table des Serdaigle. Elle était là, il aurait reconnu ses cheveux bruns entre mille. Et lorsque la jeune Serdaigle se mit de profil pour parler à une de ses amies son cœur se mit à battre plus fort. Ces effets se produisaient de plus en plus souvent et Kalisz se sentait perdu. Pour ne pas se faire remarqué il s’introduit dans une conversion qu’avait Elisabelle et Lily. Voir Elisabelle lui fit oublier un instant la Serdaigle. Un rayon de soleil vint mourir sur sa chevelure dorée et elle lui sourit. La situation était vraiment étrange mais Kalisz ne voulait pas y penser, pas aujourd’hui et certainement pas maintenant. Ce fut ensuite l’heure du courrier. Une petite chouette chevêche arriva. Il parcourra la lettre des yeux rapidement. De bonne nouvelle était arrivée de la maison.

Citation:
Kalisz Chéri,

Aujourd’hui Kaja t’apporte une lettre avec enfin de bonnes nouvelles. Votre père va mieux, je dirais même très bien. Il est dans le service juste à côté du mien, de ce fait je peux le voir tous les jours. Ses blessures sont presque totalement guérit, ils ont vraiment fait du bon travaille. Le père de ta petite princesse à d’ailleurs beaucoup contribué à cela et sa mère, la collègue de ton père est passé lui apporté des Chocoballes. Tu diras à Miss Valtteri que son père et sa mère vont bien et qu’on fera peut être quelque chose ensemble pour Noël et donc que vous n’aurez pas à vous séparez pour les fêtes.
En se qui concerne l’auteur des faits, Madame Valterri ma confier que l’enquêtes n’avait rien donnait. Il on lançait beaucoup de Prior Incanto sans aucun résultat. Ton père ne semble pas plus affecté que ça à premier vu mais il craint de nouvelle horreur à la moldu comme pendant la guerre mais chez les sorciers maintenant… Il réclame aussi de nouvelle de sa petite déesse Grecque. Si tu vois Héra, dit lui donc d’écrire à ton père et que cela lui ferait plaisir…
Ton frère participe à l’enquête même s’il lui reste encore une année de formation. Il me tient au courant de toutes les nouvelles et a promit de vous envoyer à Héra et à toi une lettre dans les prochaines semaines. Un truc à te demander pour les vacances de Noël justement, un voyage à ce que j’ai compris.

Je t’embrasse ma petite boule en sucre
Zofia C. Agnodice

Ps : Ta grand-mère Dominika t’embrasse aussi et si tu n’arrives pas à parlé à Héra, à défaut envoi lui un Hibou. Je sais c’est idiot mais je te connais comme si je t’avais fais et c’est d’ailleurs le cas !



Le père de Kalisz et Héra avait était blessait lors d’une mission contre ce mouvement anti sorcier de naissance moldu la semaine dernière et s’en remettait donc bien. Kalisz fut soulager de lire ces bonnes nouvelles, quand il redressa la tête il en parla à Belle avant de l’embrassé, heureuse, à pleine bouche. Puis il chercha sa sœur du coin de l’œil à la table des Serpentard. Il était vrai qu’elle détesté leur mère mais elle éprouvait un énorme respect pour leur père et l’adorait littéralement. Si elle aurait pu être comme Athéna et naitre uniquement de lui par son crâne elle l’aurait surement fait.

Après un petit déjeuné copieux à base de Jus de citrouille, d’œufs au plats et de pain, le rouge et or se dirigea en compagnie des autres. C’est alors qu’il croisa sa sœur. Comme par habitude depuis quatre ans le frère et la sœur se toisa sans rien dire. Puis lui, le plus bavard des deux lâcha un bonjour. Il tenait la lettre dans sa main et allait lui tendre mais il se dit que finalement elle ne le méritait pas. Il était en colère contre elle, et cette violente colère allait ressortir s’il ne partait pas. Il s’en alla alors en serrant du point la lettre. Tant pis pour elle ! Il ne savait même pas si elle avait seulement était au courant de l’accident de leur père. Sa mère le connaissait effectivement bien. Il lui enverrait donc un hibou en fin de journée pour lui dire d’écrire à leur père.

Kalisz arriva ensuite devant la porte. Lorsqu’il vit ce qui s’y tramé il hésita entre rire car ça devait surement être une plaisanterie ou le prendre au sérieux. Finalement lorsqu’il vit apparaître la petite femme mince au visage squelettique entourait de boucles folles de couleurs brunes, il se dit que ce n’était pas une plaisanterie. Son visage, il le connaissait, son père lui en avait parlé. Difficile d’échapper aux leçons sur la famille même si on est considéré comme des traitres à son sang. L’échange qu’il entendit à coté de lui entre James et Sirius le confirma :


-Et ben t'es stupéfixé!
- Tu captes pas, la prof, c'est ma cousine!


Kalisz ne pouvait pas s’empêché de détacher son regard du personnage qui se dressé devant lui. Kalisz se dirigea vers le Troisième Rang à droite derrière Lily et Elisabelle comme à son habitude. Mais il dut détaché son regard de la marionnette désarticuler qui salué sur au devant pour voir qui avait prit sa place habituelle. Pur hasard ? Ce n’était autre que Perséphone qui occupé sa chaise. Il ne l’en chassa pas et s’assit donc à côté d’elle en murmurant :

Tu as piqués a place, mais je ne t’en veux pas, il vaut mieux être en bonne compagnie pour affronté ce … Gorgone …

La créature poursuivit son show en se présentant et en expliquant les raisons du pourquoi du comment elle était là. Kalisz se dit qu’heureusement que le Professeur Binns était déjà mort car sinon elle aurait du le tué pour prendre sa place. Kalisz sortie son livre un plume et un encrier et écouta les réactions des un et des autres. Bien sûr ceux qui parlait n’était ni plus ni moins que de Gryffondor. Après tout ils étaient les seuls à être aussi courageux pour le faire. Le Serpentard eux devait juste être ravis d’avoir une version d’eux adulte dans la pièce. Kalisz jeta un regard à Perséphone. Elle semblait aussi décontenancée que lui.

Finalement il attrapa un morceau de parchemin et y gribouilla sans la moindre application :


Nom : Agnodice
Prénom : Kalisz
Sang : un mélange de rouge et de bleu. Je crois qu’on appelle ça mêlé mais bon je ne suis pas sûr !
Profession des Parents :
Père : Auror
Mère : Guérisseuse dirigeante du service des blessures psychiques magiques. Je peux vous joindre sa carte pour plus de renseignement.


Kalisz posa ensuite sa plume et s’impatienta déjà de la suite ou plutôt de la fin du cours.
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MessageSujet: Re: Première leçon.. [élève de cinq, six, septième années, toutes maisons. ]   Première leçon.. [élève de cinq, six, septième années, toutes maisons. ] - Page 2 Icon_minitimeMar 9 Aoû - 9:51


« Devinette... »


Assise en tailleur sur son bureau, jouant avec sa baguette, Bellatrix regardait les élèves remplir leurs formulaires, inquiets. Quelques uns d'entre eux se lançait des regards en coin pour comprendre ce qu'ils devaient marquer à certaines questions. Alors que Bellatrix était en train de réfléchir à la suite de son cours, comment elle allait faire pour réussir à faire comprendre la seule et véritable Histoire à ces ignorants, elle vit du coin de son oeil une main se lever. Bella releva la tête nonchalamment après quelques secondes et planta ses yeux perçants dans ceux de la malheureuse élève qui avait réellement cru que Bellatrix aurait été ravie de répondre aux questions de ses nouveaux élèves. Son insigne rouge et or cousu sur sa poitrine indiqua à la jeune professeur que c'était une Gryffondor, ou plutôt une Gryffi, comme elle avait eu l'habitude de les appeler durant ses années à Poudlard
-Qui y a t-il ? dit-elle d'un ton lasse.
- Pourquoi la profession de nos parents et notre sang vous importent-ils à ce point professeur? lui demanda-elle d'un air qui se voulait poli, mais qui pour Bellatrix ne l'était absolument pas. Puisque le simple fait de la reprendre et de lui poser une question était un acte impoli.
- Sauf votre respect, c'est complètement stupide. Le sang n'influence en rien les capacités d'apprentissage d'un élève. Mais vous êtes professeur, vous devriez savoir cela..., renchérit une deuxième Gryffondor assise à une table un peu plus loin d'un ton beaucoup plus insolent cette fois-ci, ce qui déplut beaucoup à Bellatrix qui sauta de son bureau et s'avança vers la jeune lionne à grande enjambés. Elle s'accroupie devant son pupitre, ses deux coudes sur la table, faisant jouer ses longs doigt fin sur la surface en bois et dit d'une petite voix de fillette qu'on aurait menacé après lui avoir volé ses bonbons.
- Ces petits détails son important chère - Bellatrix jeta un coup d'oeil sur le parchemin de la jeune Gryffondor-Adamson, parce que c'est le sang qui fait d'un Homme ce qu'il est. Vois tu, s'il y a une tare chez l'un de ses parents, on retrouve forcément cette tare chez lui. Si la base de l'une des branches de l'arbre est pourrit par un champignon, c'est toute la branche naissante qui le sera alors également. De plus, tout le monde sait que nous pouvons aussi nous rendre compte de la valeurs d'une personne en fonction de ses choix dans la vie. Ce sont nos choix qui font ce que nous sommes..- Bellatrix marqua une pause et sourit à la rouge et or, mais pas un sourire amical, un sourire sans joie, à faire froid dans le dos - Ainsi donc , reprit-elle, ces deux petites questions me permettent de voir à qui j'ai à faire.. Quel genre de personne vous êtes.. Mais bon, vous m'avez l'air intelligente, vous devriez le savoir non? Cette réponse vous suffit-elle ou vous en voulez davantage?
Elle se leva lentement et s'avança vers le pupitre de la deuxième Gryffondor, plaqua ses deux mains à plat sur son questionnaire, l'obligeant ainsi à lever les yeux vers elle et, un rictus de dégoût sur le visage face à cette Gryffi, elle dit d'une voix lente, en détachant bien chaques syllabes pour s'assurer que chaques mots soient bien compris:
- Main-te-nant-je-vous-pris-de-bien-vou-loir-ré-pondre-à-ces-deux-ques-tions !
Bellatrix fit passer sa langue de serpent entre ses dents et repartit vers son estrade en tournoyant sur elle même.

Elle revint à son bureau et s'y assis, balançant ses jambes d'avant en arrière comme une enfant, tout en réfléchissant à la question que lui avait posé les deux Gryffondors. Pourquoi est-ce que ça l'intéressait? C'était pourtant très clair, ces deux questions étaient très clair; Bellatrix voulait savoir de quel sang et de quelle famille ils appartenaient. S'ils étaient de vrai sorciers. S'ils méritaient ou non son attention. Bellatrix savait -et à son grand désespoir- qu'elle ne trouverait que très peu de sang pur dans sa classe, et un grand nombre de sang de... de sang de Bourbe. Mais il fallait s'y attendre, le nombre de familles de sang pur qui avaient disparues ces deux derniers siècles étant très élevé, il y avait très peu de chance d'en avoir plus de trois par classe et le plus souvent, ceux-ci étaient cousin ou même frère et soeur. C'était d'ailleurs le cas dans cette classe; Bella avait deux cousins de présent. Elle lança un regard de fierté en direction de Regulus, ce charmant garçon, élégant, appartenant à la maison Serpentard, en quelques mots, un digne de son sang.

Lorsque la moitié des élèves eurent levé le nez de leur parchemin, Bella descendit de son bureau et se dirigea d'un pas dansant vers les pupitres de ses élèves, pour récupérer leur questionnaire. A chaque parchemin ramassés, les yeux de Bellatrix se dirigeaient malgré eux vers la troisième questions, cette fameuse question de sang. A sa grande joie, elle découvrit un certain nombre de sang pur, plus qu'elle l'avait imaginé, mais quel sang pur, certain n'était pas si pur que ça.. Lorsqu'elle passa près de la table de James Potter pour ramasser son questionnaire, un rictus méprisant se forma sur son visage. Oui, elle en savait beaucoup sur lui.. Les murs de Poudlard lui en avaient beaucoup dit à son sujet.. Un traitre à son sang ! Un petit prétentieux sympathisant avec des sangs de bourbes, se croyant plus fort que tout le monde lorsque sa petite bande est avec lui ! Qui se permettait d'affronter les noble élèves de la maison Serpentard.. Mais surtout, il était le meilleur ami de son deuxième cousin; Sirius qui ne méritait pas plus de respect que lui de la part de Bella..

Les personnes comme James ou Sirius la dégoûtaient certes, car c'était pour elle un gâchis que de telles personnes porte un titre aussi important qu'est celui des sorciers de sang pur, mais ce n'était rien comparé aux enfants nés de parents mordue qui la dégoûtaient au plus haut point. Pour elle, ce genre de personnes ne méritait même pas d'étudier à Poudlard, elle les mettait aux même rang que les Cracmol..Bella ne put s'empêcher de regarder avec dégoût ces petits sang de bourbe lorsqu'elle passa près d'eux pour récupérer -ou plutôt arracher- leur questionnaire. Une chose était sûr, tous ces gens comme Evans, McKeiny ou encore Caleb n'allaient pas être les bienvenu dans cette classe. Il y en avait tellement entassé dans le château, ils empestaient le sang impur, le sang sale.. Et puis il y avait les autres.. Ceux qui inspiraient à Bella une sorte de pitié; les sangs mélés.. Ces malheureux sorciers n'ayant certainement pas voulut avoir leur sang souillé par un sale moldu, mais qui malgré eux et par le choix de l'un de leur parent ou d'un de leurs ancêtres, avait du en subir les conséquences.. C'est donc avec un sourire, - qui aurait pu sembler affectueux pour ceux qui ne connaissaient pas Bella, mais qui se révéla être plutôt une grimace - qu'elle fit glisser sa main vers le parchemin d'un certain Severus Rogue, qui a première vue, était du même avis qu'elle et ne portait pas plus de respect qu'il en fallait, à son côté moldu.

Lorsque tous les questionnaires furent ramassés, Bella revint à son bureau d'un pas lège et y déposa la pile de parchemin. La jeune femme fit quelques pas sur son estrade à la façon de quelqu'un qui aurait abusé de whiskies pur feu puis se mit face aux élèves, son habituel sourire mesquin sur les lèvres, pour enfin commencer son cours.
- Pour débuter cette première période de cours que nous allons passer ensemble, commença-t-elle d'une voix presque inaudible, nous travaillerons sur les événements s'étant déroulé à partir de l'année 1600.. Je me doute que votre ancien professeur vous ai déjà parlé de cette période, cependant.. j'aimerais revenir dessus pour que vous ayez.. comment dire cela sans paraître sur de soit.. pour que vous ayez un autre point de vue, un point de vu que je qualifierais de plus réaliste, de plus juste ! -Bellatrix marqua une pause- Car beaucoup de choses ont été passé sous silence, pour - comme disent ceux qui se croient savant -, vous apprendre la tolérance.. Haha ! ricana-t-elle d'une voix aiguë comme si sa remarque avait été particulièrement drôle. La tolérance, voyez vous ça ! - A présent, Bellatrix ne parlait plus du tout d'une voix silencieuse, elle s'exprimait fort, à la façon d'une militante récitant son serment. - Sauf que nous ne pouvons pas être tolérant avec ce genre de créature ! Car oui, durant cette longue période, beaucoup de sang de sorcier a été versé, et tout ça à cause d'une sale petite vermine ne respectant pas ses ainés !

Bellatrix se tue et se dirigea vers ses élèves, passant d'un rang à l'autre en les regardant droit dans les yeux et en leur murmurant aux oreilles, de sa voix de bébé, de petites phrases tel que « Alors, qu'en pensez vous?» ou encore « N'est-ce pas?», tantôt une moue sur les lèvres, tantôt sa langue de vipère entre ses dents. Elle s'accouda à la table d'un Serpentard qui portait le nom de Rodolphus -un sang pur bien sûr- et, à moitié à genoux, demanda d'une voix de petite fille:
- Alors, qui peut me dire comment s'appelle l'évènement qui s'est déroulé durant cette période?





Dernière édition par Bellatrix Black le Jeu 18 Aoû - 16:27, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Première leçon.. [élève de cinq, six, septième années, toutes maisons. ]   Première leçon.. [élève de cinq, six, septième années, toutes maisons. ] - Page 2 Icon_minitimeMer 10 Aoû - 11:19

Deux Gryffondor venaient de poser des questions stupide au sujet de la question du sang. Bien évidemment qu cela était important. Sinon sans ca nous ne pourrions les distinguer sang PUR et sang de bourbe.
Bellatrix s'approcha tour a tour des deux jeunes filles et leur expliqua que la couleur du sang était plus qu'important car si l'on trouvait des tares chez les sangs de bourbes, elle se retrouveraient dans les enfants qui bien sur seraient indigne à leurs propre sang originel.


Puis Bellatrix ayant répondu aux question se redirigea vers son bureau attendant que d'autre élèves aient finis de répondre au questionnaire. Rod' avait finit depuis belle lurette et était fier de son statut de sang pur qui pour lui valait bien plus que tout l'or du monde. ensuite elle dévisagea ce cher James Potter que Rodolphus lui même haïssait du plus profond de son être. Ce traître à son sang avec son idiot de meilleur ami ainsi que sa bande d'abrutis de maraudeur. Bien sur Sirius était le cousin de mademoiselle Black mais d'aprés ce qu'il avait put entendre, elle le considérait aussi comme un traître à son sang et sa famille l'avait rayé de l'arbre généalogique.

- Pour débuter cette première période de cours que nous allons passer ensemble, nous travaillerons sur les événements s'étant déroulé à partir de l'année1600.. Je me doute que votre ancien professeur vous ai déjà parlé de cette période, cependant.. j'aimerais revenir dessus pour que vous ayez.. comment dire cela sans paraître sur de soit.. pour que vous ayez un autre point de vue, un point de vu que je qualifierais de plus réaliste, de plus vrai ! - Car beaucoup de choses ont été passé sous silence, pour - comme disent ceux qui se croient savant -, vous apprendre la tolérance.. Haha ! La tolérance, voyez vous ça ! - A présent, Bellatrix ne parlait plus du tout d'une voix silencieuse, elle s'exprimait fort, à la façon d'une militante récitant son serment. - Sauf que nous ne pouvons pas être tolérant avec ce genre de créature ! Car oui, durant cette longue période, beaucoup de sang de sorcier a été versé, et tout ça à cause d'une sale petite vermine ne respectant pas ses ainés !

La révolte des gobelins était une histoire qui avait marqué tous les esprits. Beaucoup de sang de sorciers avait été versé et Rodolphus considérait cela comme un gachis incommensurable que de perdre du sang contre ce genre de vermine. les gobelins auraient du être exterminés à la naissance pour ne pas perdre ce liquide royal si important aux yeux de certains.
Bellatrix leur demanda alors ce qu'ils en pensaient et l'oeil de Rodolphus fut vite attiré vers le tableau représentant un sorcier égorgeant un gobelins et un sourire machiavélique s'étira sur son visage.

Le professeurs zigzaguait entre les table et vînt s'accouder à la table de Rodolphus et demanda d'une voix de petite fille.

- Alors, qui peut me dire comment s'appelle l'évènement qui s'est déroulé durant cette période?

Le vert et argent eut un petit sourire.

-La révolte des gobelins en 1612 qui fit à mon gout couler trop de sang sorcier et pas assez de sang gobelins.

Le serpentard avait les yeux plongés dans ceux de Bellatrix mais ne sourcillait pas du tout. Il attendait avec impatience la réponse qu'elle allait lui donner.

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MessageSujet: Re: Première leçon.. [élève de cinq, six, septième années, toutes maisons. ]   Première leçon.. [élève de cinq, six, septième années, toutes maisons. ] - Page 2 Icon_minitimeJeu 11 Aoû - 22:37

    Il était évident que la remplaçante de notre très cher professeur Binns ne partageait pas mon avis. Les affiches qui étaient accrochés aux murs de la classe en témoignaient, et puis il y avait ce fameux formulaire qu’elle nous faisait remplir. Pourquoi le sang aurait-il une quelconque signification si elle n’était pas de ceux qui pensaient que les sangs « impurs » n’étaient pas dignes d’étudier la magie ? Il était pour moi très clair que Dumbledore avait engagé une timbré comme professeur d’Histoire. Je ne comprenais pas qu’il l’est permis d’enseigner ici ! Quelle plaie cette femme ! Et je n’étais pas au bout de mes surprises puisque lorsque je renchéris après la question d’Ellie, la nouvelle prof vint aussitôt vers moi. A mon grand étonnement elle s’accroupit devant ma table, et la main qui était posée sur mon sac se crispa. Je priai intérieurement pour que Sonie ne fasse aucun geste brusque ou un quelconque bruit qui aurait pu signaler sa présence. Les deux coudes sur le rebord, sa tête proche de la mienne, elle fit une mine enfantine. Sauf que ce n’était pas du tout mignon. C’était même angoissant de constater qu’elle ressemblait à une fillette par moments.

    « Ces petits détails son important chère – elle marqua une pause le temps de regarder sur mon parchemin - Adamson, parce que c'est le sang qui fait d'un Homme ce qu'il est. Vois tu, s'il y a une tare chez l'un de ses parents, on retrouve forcément cette tare chez lui. Si la base de l'une des branches de l'arbre est pourrit par un champignon, c'est toute la branche naissante qui le sera alors également. De plus, tout le monde sait que nous pouvons aussi nous rendre compte de la valeur d'une personne en fonction de ses choix dans la vie. Ce sont nos choix qui font ce que nous sommes. » dit-elle.

    A cet instant, je crus que j’allais exploser. J’avais envie de la réduire en morceaux, mais ça n’aurait pas été très intelligent. Mon sang bouillonnait en moi, et je regardais intensément notre professeur. Enfin, si l’on pouvait appeler ça comme ça. Une tare ?! Mais bon sang ! Etais-je la seule à trouver ça révoltant ? Je ne dis rien, me contentant de la fixer sans abaisser mon regard. Je ne lui ferais pas ce plaisir. Un silence se fit dans la salle, et elle reprit bien vite.


    « Ainsi donc, ces deux petites questions me permettent de voir à qui j'ai à faire.. Quel genre de personne vous êtes.. Mais bon, vous m'avez l'air intelligente, vous devriez le savoir non? Cette réponse vous suffit-elle ou vous en voulez davantage? »

    « Oui, en effet, cela me suffit amplement tout comme vous pour savoir à qui nous avons à faire…n’est-ce pas ? » fis-je.

    Je lui lançai un regard mauvais. J’allais certainement avoir des ennuis. Insulter un prof était passible d’une punition à la hauteur de l’insolence, et mon père ne tolèrerait pas ça. Elle s’adressa ensuite à Ellie, posant ses deux mains sur sa table.


    « - Main-te-nant-je-vous-pris-de-bien-vou-loir-ré-pondre-à-ces-deux-ques-tions ! »

    Dans mon sac, Sonie bougea et je me mordis la lèvre. Maudit chat ! Je regrettais déjà de l’avoir emmené avec moi. Mais il avait été si attendrissant que je n’avais pas pu résister. Elle se désintéressa de moi pour mon plus grand plaisir. Ainsi, je pus glisser ma main dans mon sac pour caressais furtivement Sonie. Pour l’instant cette sale boule de poil était calme, mais ça ne durerait pas longtemps, je le craignais. Bellatrix s’en alla vers son bureau et une fois que tous les élèves eurent finis de remplir le formulaire, elle passa dans les rangs pour les ramasser. Elle avait saisi le mien rapidement, et je levai les yeux au ciel. Maudite femme ! Ce fut alors que je rêvassai que le pire se produit. Sonie emprisonnée dans mon sac, profita de mon inattention pour sortir. Hélas, je ne m’en rendis compte que trop tard. Sonie fila sous la table d’Ellie, mais n’y resta pas bien longtemps car elle partit ensuite sous mon regard horrifié se planquer sous la chaise de Jason. Non. C’est pas vrai ! Ce chat allait avoir ma peau ! Je jetai un regard vers la prof et fort heureusement celle-ci était occupée à ramasser les parchemins, s’attardant parfois devant les élèves pour leur jeter un regard méprisant.


    « Sonie… ! » appelai-je en chuchotant, me penchant vers la table de Jason.

    Mais c’était trop loin pour que je l’atteigne. Je tournai les yeux vers le gryffondor, lui adressant un sourire contrit. Oh, il fallait que ça tombe sur lui en plus ! Merlin m’avait maudite ! Clair et net !Comme pour confirmer les dires, Sonie grimpa sur les genoux de Jason. Oh, non elle ne… ! S’allongeant de tout son long sur les jambes du jeune homme, elle commença à se lécher les pattes. Et en plus elle me narguait ! Quelle sale… ! Jetant à nouveau un regard vers Bellatrix, je vérifiais qu’elle était loin de nous avant de me pencher une fois de plus vers Sonie..


    « Reviens sale boule de poil ! »murmurai-je.

    Oh, c’était un cauchemar ! Sonie ne bougea pas d’un pouce, et se contenta de me regarder fixement sans rien faire. Quand je vous disais qu’elle se foutait de moi ! Elle commença alors à se faire les griffes sur la cuisse de Jason. Je me pinçai les lèvres pour ne pas rire, malgré moi.

    J’allais tenter de me glisser vers la table de Jason, pour la récupérer, mais la prof revint vers son bureau alors je me dépêchais de chuchoter :



    « Planques-là ! » m’adressai-je à Jason.

    Je me tins droit sur ma chaise, comme si de rien était, mais j’avais du mal à ne pas tourner mon regard vers la table du gryffondor pour savoir ce qu’il avait fait de Sonie. Pourvu qu’il la caches bien…


    « Pour débuter cette première période de cours que nous allons passer ensemble, commença-t-elle d'une voix presque inaudible, nous travaillerons sur les événements s'étant déroulé à partir de l'année1600.. Je me doute que votre ancien professeur vous ai déjà parlé de cette période, cependant.. j'aimerais revenir dessus pour que vous ayez.. comment dire cela sans paraître sur de soit.. pour que vous ayez un autre point de vue, un point de vu que je qualifierais de plus réaliste, de plus vrai ! Car beaucoup de choses ont été passé sous silence, pour - comme disent ceux qui se croient savant -, vous apprendre la tolérance.. Haha ! . La tolérance, voyez vous ça ! Sauf que nous ne pouvons pas être tolérant avec ce genre de créature ! Car oui, durant cette longue période, beaucoup de sang de sorcier a été versé, et tout ça à cause d'une sale petite vermine ne respectant pas ses ainés ! »

    Je ne l’écoutais que d’une oreille. De toute façon les cours d’Histoire de la Magie ne m’intéressaient guère. D’habitude de somnolais, ou j’envoyais des petits mots à Ellie pour la faire rire. Je ne l’écoutais que d’une oreille. De toute façon les cours d’Histoire de la Magie ne m’intéressaient guère. D’habitude de somnolais, ou j’envoyais des petits mots à Ellie pour la faire rire. Mais là, j’étais bien obligée de rester éveillée. Pitié, faites que ce soit un cauchemar et que je me réveil très vite ! Le pire, ce fut que Bellatrix ne se contenta pas de rester près de son bureau, non elle fit le tour de la classe, aussi folle alliée qu’elle paraissait.

    « Alors, qui peut me dire comment s'appelle l'évènement qui s'est déroulé durant cette période? » demanda-t-elle.

    Avant que quiconque puisse répondre, ce fut Rodolphus qui répondit le premier avec un sourire narquois.

    -La révolte des gobelins en 1612 qui fit à mon gout couler trop de sang sorcier et pas assez de sang gobelins.

    Je me fichais de savoir si c’était la bonne réponse, et pour cause, je me tournai vers Jason, discrètement pour savoir où il avait mis la petite peste qui me servait de chat.








Dernière édition par Catalina Adamson le Jeu 11 Aoû - 23:06, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: Première leçon.. [élève de cinq, six, septième années, toutes maisons. ]   Première leçon.. [élève de cinq, six, septième années, toutes maisons. ] - Page 2 Icon_minitimeJeu 11 Aoû - 22:58

Orah était assise à l'exact milieu de la salle -disposée anarchiquement par Mlle Black- et des têtes qu'elle pouvait voir, tout le monde lui paraissait complètement dépité. Elle jeta un coup d'oeil à Kalisz qui s'était placé non loin d'elle, il fixait Mlle Black, et se prenait la tête dans les mains. Sirius Black ? Il avait l'air beaucoup plus calme et stressé qu'à l'ordinaire, quand à son acolyte James Potter, et bien son sourire narquois l'avait quitté apparemment ! Héra avait l'air plutôt contrariée, mais pas par la nouvelle professeur, mais plutôt par ce qu'elle écrivait sur son parchemin … Amélia avait toujours les yeux grand ouverts, comme pour être sûre qu'elle ne rêvait pas. Le visage de Ayako se déformait à la lecture de chacune des questions écrites sur le parchemin, et elle n'avait pas l'air très contente... Sylviana avait presque de la fumée qui lui sortait des oreilles tellement elle avait l'air énervée ! Elisabelle parvenait bizarrement à garder une expression totalement neutre, pas comme Kaylee, la préfète des verts, qui avait l'air profondément ennuyée... Axelle, sa camarade de Poufsouffle n'avait pas l'air de vraiment comprendre ce qu'il se passait. Bien qu'il soit chez Serpentard, Rogue paraissait très énervé, ce que Orah trouvait étonnant. Elianne... Son visage d'ange cachait des choses, même pendant le cours d'HDLM … L'inquiétude pouvait se lire sur le visage de Lily Evans, contrairement aux visages de Regulus Black et Rodolphus Lestrange. Le premier, s'il lui était arrivé pendant ce cours de ressentir quelque chose, ça devait être du contentement. Sa cousine était professeur, et elle aimait le sang pur, que demander de plus ? Quand à Rodolphus … Quelle admiration pour cette femme émanait de lui ! Comme une sorte de fascination... Ses yeux suivaient ses mouvements, et Orah ne fut pas étonnée de le voir être le premier à lever la main à la question qu'avait posée Mlle Black -à savoir - Alors, qui peut me dire comment s'appelle l'évènement qui s'est déroulé durant cette période? - et de répondre comme il l'avait fait. Rodolphus était ce qu'on peut appeler « cireur de pompes » de professeurs, surtout quand elle s'appelle Black, et cela se ressentait dans sa réponse -à savoir également : -La révolte des gobelins en 1612 qui fit à mon gout couler trop de sang sorcier et pas assez de sang gobelins. Pendant qu'elle pensait à cela, quelque chose sortit Orah de ses pensées : des chuchotements : non loin d'elle Catalina disait quelque chose à Jason qu'elle ne comprit pas, jusqu'au moment où elle remarqua une petite boule de poil installée sur les genoux du jeune homme. Elle médita quelque secondes sur cette situation un peu cocasses, mais en revint finalement à ses pensées :
Si Orah avait répondu à la question, ce qu'elle aurait fait en temps normal, avec un professeur normal, elle aurait simplement dit « Il y eut au début du 17ème siècle une révolte des Gobelins, qui en avaient marre d'être au service des sorciers, ce qui entraîna une guerre qui fit couler beaucoup de sang ». Une réponse neutre, comme devrait l'être celle de tout le monde...

Orah se posait une question : Comment Dumbledore avait pu la choisir elle, elle, cette Black avare et raciste, en tant que professeur d'HDLM ? On l'apprenait depuis la primaire, l'Histoire, avec un grand ''H'' est ce qui forme le présent, c'est une matière plus qu'importante, essentielle ! « Elle nous a rendu tels que nous sommes aujourd'hui, et l'apprendre, même simplement l'étudier nous permet de ne pas refaire les mêmes erreurs qu'autrefois ! » se disait la jeune fille. Il fallait pour occuper le poste de professeur dans cette matière quelqu'un de neutre, qui s'y connaisse, et qui aime faire apprendre. Certainement pas une femme d'une mentalité aussi fermée que celle de Bellatrix Black, qui était rancunière, gamine et raciste par dessus le marché ! Qu'était-il bien arrivé à Dumbledore ?

Et puis, Orah passait ses BUSE en fin d'année ! Nom d'une bouse de dragon, mais comment allait-elle faire ? Il lui faudrait travailler beaucoup plus par elle même pour pouvoir les réussir correctement !
Pour se remettre de ses émotions, Orah sortit un bout de parchemin, et commença à écrire une lettre, destinée à son frère :

Citation :
Nathou …
Je suis contente pour toi, que Cambridge se passe bien et tout, mais sache que de mon côté, c'est la catastrophe … Ma vie sentimentale est complètement déserte, mais c'est même pas ça le problème … Imagine que ton professeur d'histoire soit un nazi conquistador raciste ? L'horreur non ? Et bien devine quoi ? Ma nouvelle professeur d'Histoire de la Magie décrit parfaitement ce tableau … Je passe des exam's très importants en fin d'année, tu sais je t'en ai parlé, mes BUSE, et avec une prof comme ça, je réussirai jamais … Pfouuuu, CA-TA-STROPHE je te dis …

Je t'écris cette lettre pendant son ''cours'' d'ailleurs … Enfin bref, continue de bien t'éclater, mais m'oublie pas !

Gros bisous, ta soeur préférée, Alias Orache !

...
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MessageSujet: Re: Première leçon.. [élève de cinq, six, septième années, toutes maisons. ]   Première leçon.. [élève de cinq, six, septième années, toutes maisons. ] - Page 2 Icon_minitimeLun 15 Aoû - 18:23

Ce regard de Black, elle le détestait. A peine avait-il effleuré son visage – après avoir consulté son formulaire – Sissi y lut le pire sentiment qui pouvait exister : la pitié. La froideur devint glaciale et son regard gris orage semblait lancer des éclairs. Ce n'était pas de sa faute. Oui, décidément, le sang avait une réelle importance, et il fallait s'y habituer. Lorsque la prof s'éloigna, Sylviana poussa un soupir de lassitude. Heureusement, Héra était à ses cotés. Elle se sentait moins seule et un peu en sécurité.

- Sonie …

La russe fronça les sourcils et tourna la tête dans la direction de cette voix qui était seule de Catalina. Elle l'aurait reconnue entre mille. Mais Sonie ? C'est alors que son regard accrocha une petite boule de poil qui vagabondait dans la salle de classe avant de trouver refuge sur les genoux de Jason, ignorant les appels de sa maîtrise. Quelle idée aussi de ramener cet animal en cours, Catalina avait de ces idées parfois, irréfléchie. Mais elle l'appréciait énormément. Ses rires et son sourire lui donner du baume au cœur et réchauffait son corps de glace. Son attention retourna sur Bellatrix, cette femme excentrique à souhait qui semblait avoir un peu trop abusait du whisky pur feu … mais son esprit était lucide – quoique tellement déjanté.

Les événements du XVIIe siècle ? Elle parlait bien de la période où les Godelins s'étaient révoltés contre l'autorité sorcière ? Mais c'était un sujet vu, revu et encore revu. D'un terrible ennuie. Mais la suite lui fit froncer les sourcils – une fois de plus. Cela allait devenir une habitude dans ce cours, et surtout avec cette femme. Un point de vue plus réaliste … mais où est-ce qu'ils allaient ? Oui c'était pour nous apprendre la tolérance et cette Black n'avait pas bien appris sa leçon. La tolérance … un idéal que Dumbledore cherchait à garder au sein de son école, mais qui étaient empoisonné par des idéaux complètement débiles.

La voix de Lestrange la sortit de ses pensées. Encore un … Pensait-il impressionner cette femme en la fixant de cette manière, avec insolence et ce petit sourire assuré. Écœurant, ce spectacle était tout simplement répugnant. Mais il y avait un problème, la prof n'était pas loin de Jason … vous avez v le problème ? La chat évidemment. Lina allait avoir des problèmes … déjà que son franc parlait avait failli lui jouer des tours quelques minutes plus tôt.

Bon, il fallait la détourner de Jason et l’inciter à se rapprocher d'elle. Et le meilleur moyen n'était pas l'insolence ni le franc parlé … Alors après la voix de Rodolphus, ce fut celle froide et assurée de Sylviana qui résonna dans la pièce. Elle qui d'habitude parlait peu en cours, apportant parfois deux ou trois éléments supplémentaires.


- A vrai dire, il y a eu des révoltes tout au long du Monde magique mais elles ont été plus marquantes et sanglantes au 16e siècle. On retient facilement l’événement de 1612, une révolte parmi tant d'autres, mais qui eu lieu près d'ici, à Pré-Au-Lard. La Tête de Sanglier fut d'ailleurs utilisé comme quartier général.

Elle venait de contredire Lestrange, non ? Apparemment oui, mais de toute manière, elle avait raison, non ?

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MessageSujet: Re: Première leçon.. [élève de cinq, six, septième années, toutes maisons. ]   Première leçon.. [élève de cinq, six, septième années, toutes maisons. ] - Page 2 Icon_minitimeJeu 18 Aoû - 11:22

    Cette femme était décidément vraiment vraiment VRAIMENT très étrange. Et franchement, Axelle se demanda si elle rencontrait un épouventard dans les secondes suivantes s'il ne prendrait pas l'apparence de cette sorcière. Parce qu'il fallait savoir que déjà la jeune fille était vraiment très timide, elle n'osait pas souvent poser des questions, elle n'aimait pas donner son avis, ni même participer à certaines conversation mais cela devenait encore pire avec cette drôle de personnes qui passait de table en table comme un serpent et approchait parfois même son visage de folle-dingo tellement près de celui des élèves qu'Axelle en avait de la peine pour eux ! Heureusement, le Professeur Black ne semblait pas s'intéresser à la table de la jeune Poufsouffle. Non, en réalité c'était bien pire que ça, dans les yeux de la jeune femme, Axelle pouvait voir qu'elle ne remarquait même pas son existence. C'était comme si sa table était vide, ou carrément pas dans la salle. Il était vrai que c'était souvent le cas pour la jeune Poufsouffle de passer inaperçu, mais jamais à ce point là.

    Alors que le Professeur Folle-Dingue répondait aux questions des courageux, Axelle regarda les autres élèves de sa classe. Certains semblaient révoltés (bien que la jeune fille ne comprenne pas bien pourquoi, après tout, quand quelqu'un à quelques déficiences mentales, il faut juste être compréhensif, pas la peine d'être aussi outré face à cette pauvre professeur qui n'avait, visiblement pas, toute sa tête.) D'autres élèves cependant acquiesçaient les paroles de Melle Black. Eux au moins semblaient compréhensifs. Le regard d'Axelle tomba alors sur une jeune fille qu'elle connaissait, une camarade de Poufsouffle : Orah. C'était une personne vraiment gentille, elle était agréable et pas trop bruyante, bref, exactement comme Axelle aimait les gens. Tout comme Amélia, qui elle était assez drôle comme jeune fille, très agréable aussi.

    Axelle fut tiré de ses pensées par le serpent qui vagabonda non loin de la table de la jeune poufsouffle qui eut un mouvement de recule. Vraiment... beuuuuuuurk. C'était tout ce que lui inspirait cette dame en noir !

    Elle était en train de parler de quelque chose qui c'était passé dans les années 1600. Bah oui ! Evidemment ! Le professeur Binns avait même fait plusieurs cours plutôt intéressants sur cette période ! Axelle avait bien aimé ces cours. Alors pour quelles raison Melle Black voulait elle en reparler ? A quoi bon refaire des cours qu'ils avaient déjà fait ? C'était comme relire un livre déjà lu, alors qu'il y en a des milliers dans le monde (aussi bien dans celui des moldus que des sorciers soit dit en passant).

    Quelques personnes prirent cependant la peine de répondre à Mme Tarée. Oui des révoltes blablabla ! Tout le monde le savait ça ! Ah non... Au vu de la tête que faisait ce serpentard super étrange, lui il ne le savait pas ! Oui enfin rien d'étonnant, il nous fera signe celui-là quand il écoutera un cours !

    Axelle regarda alors le professeur pendant quelques secondes puis décida que le mieux était tout simplement de regarder sa table, parce que si par malheur son regard croisait celui du crapeau, elle allait paniqué et Dieu seul sait quelles malheureuses phrases (ou même onomatopés) allaient sortir de sa bouche. Oui. Regarder son pupitre c'était cool.

    Il n'y avait pas que la prof qui était étrange...
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MessageSujet: Re: Première leçon.. [élève de cinq, six, septième années, toutes maisons. ]   Première leçon.. [élève de cinq, six, septième années, toutes maisons. ] - Page 2 Icon_minitimeJeu 18 Aoû - 16:28

    Le matin, ce que je détestais les matins. Je préférais rester dans mon lit plutôt que de devoir me lever et d’aller en cours. Je n’étais pas franchement en forme. C’était même pire. Je me sentais tellement misérable. Une voix dans ma tête me disait de ne pas me laisser abattre par tout ça, mais je ne pouvais pas. C’était impossible et trop douloureux. Je me levais, il était tôt et la moitié du dortoir était déjà debout en train de s’activer. J’avais préparé mes affaires la veille et je n’aurais qu’à faire ma toilette, m’habiller et déjeuner. Ce que je fis. Les cours d’histoire de la magie étaient d’un ennui. Je me devais d’y aller cependant. Je m’habillais après avoir pris une douche, attrapa mon sac et descendit dans la grande salle. Je mangeais silencieusement et seule comme souvent d’ailleurs. Ce que ça pouvait être pesant la solitude par moment. Je me sentais complètement à l’écart de ce monde.
    Je terminer mon petit déjeuner puis me rendis directement en cours.Il y avait déjà Lily Evans de présente à qui je souris. D’autres élèves été déjà là aussi. Je m’aperçus tout de suite que le professeur n’était pas mr.Binns, notre professeur habituel. Je pris place à l’écart comme à mon habitude en n’ayant pas oublié de saluer notre nouveau professeur. Les élèves arrivèrent à quelques minutes d’intervalles. Le nouveau Professeur était une femme. Elle se présenta comme étant Bellatrix Black . Black ? Comme Sirius Black ? Ils devaient être de la même famille. D’ailleurs j’aperçus l’arbre généalogique des Black. Eh bien leur famille était bien grande. Elle expliqua qu’elle remplacerait le professeur Binns un certain temps et qu’on apprendrait toute la vérité. Sa phrase me laissa sceptique. Elle nous demanda de remplir un formulaire qui arriva sur nos tables quelques secondes plus tard. Je pris ma plume pour écrire les réponses.

    Nom : Stanford
    Prénom : Evie
    Sang : Née moldu
    Profession des parents : je n’ai plus que mon père, il est policier.

    Je me demandais pourquoi c’était si important, d’ailleurs je n’étais visiblement pas la seule à me le demander. Ce fut une élève qui posa la question. Le professeur répondit que c’était le sang qui faisait d’un Homme ce qu’il était. Je n’étais pas franchement d’accord avec ça. C’était stupide mais je préférais me taire. La suite me laissa croire qu’elle devait vraiment être attaché à la valeur du sang pour dire des choses pareilles. J’étais née moldu et quelque chose me disait que mme Black n’appréciait pas les gens comme moi. L’année 1600. Je réfléchissais à nos ancien cours mais rien ne me revenais. De tout façon j’étais beaucoup trop timide pour répondre aux question. Qu’elqu’un d’autre le ferait à ma place.
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MessageSujet: Re: Première leçon.. [élève de cinq, six, septième années, toutes maisons. ]   Première leçon.. [élève de cinq, six, septième années, toutes maisons. ] - Page 2 Icon_minitimeJeu 18 Aoû - 17:33

Après avoir posé sa plume Kalisz attendit la suite, qui ne tarda pas à arriver au galop. Et ce n’était pas un seul petit cheval en furie qui avançait vers eux. C’était tout un troupeau de buffle enragé. Comme Kalisz l’avait remarqué les seuls à se faire remarquer par leur courage et leur langue bien pendu. Le Serpent rampa habilement, enfin plus ou moins jusqu’à la table de la Gryffondor qui avait vitupéré. Cette Gryffondor ne lui était pas étrangère puisqu’elle était ni plus ni moins que sa confidente Catalina. Madame Black répondit alors de sa voix aiguée qui faisait froid dans le dos que les détailles demandaient été important. Elle expliqua ensuite sa « théorie » sur les tares de le génétique et surtout du sang. Ce comportement lui rappela pourquoi sont père avait été blessé et contre quoi il c’était battu toute sa vie. Les fous qui pensait être mieux que les autres, ce qui pensé être supérieur par ce qu’ils avaient les yeux bleus, ou les cheveux blonds. Là c’était pire elle dédaigné tous ceux qui n’avait pas des ancêtres sorciers depuis la nuit des temps. Qu’attendait elle qu’on mettent ceux qui sont sans pouvoir en gage, qu’on les mettent dans un camps pour qu’ils construisent des châteaux magiques pour nous les sorciers. Kalisz attrapa une feuille et commença à gribouiller pour ne pas se laisser gagné par sa colère et par la noirceur de ses souvenirs familiaux. Il entendit enfin la fin de sa tirade de malade mentale. Elle séparait chaque syllabe comme si elle parlait à une autre folle d’une autre nature. Kalisz leva alors la main mais sans attendre qu’elle l’interroge il fit :

« Je suis totalement d’accord avec vous Madame. Je comprends que vous vouliez savoir si nos parents se sont marier entre cousins ou cousines, bref par famille proche car dès ce moment il est vrai que la branche devient pourrit par un champignon et que du coup la ligné qui suit sera aussi pourrit que la base vu qu’elle sera basé sur l’inceste. Vous avez raison Madame c’est connu, la plus part des famille de sang pure se mariant entre eux ils est normale que vous cherchiez les tares génétiques. Je suis totalement d’accord avec vous ! »

Kalisz n’avait pas relevé le visage et avait continué de gribouiller sur son parchemin pour contenir ses paroles. Il en avait déjà trop dit mais il fallait le dire après tout. Dans un sens il était d’accord avec elle sur les tares génétiques. Disons même les tarés qui naissent des mariages entre sang pur. Mais après sa tirade il releva la tête et observa le serpent, ce cobra déplier son capuchon. Il attendait il retour de bâton mais il s’en fichait. Comment on pouvait resté là sans rien dire vers un nazi de nouvelle génération et en plus une sorte de nazi sorcier. Il avait l’impression de se retrouvait face à ses oncles. Aussi fous les uns que les autres ayant trop de « taré » comme ancêtres. Son visage de femme enfant lui donnait l’impression de ne pas avoir grandit nit physiquement ni même mentalement. Elle prenait tout comme un jeux, comme si tout pouvait être cassé et que père et mère en achèterais un autre, plus beau, plus neuf pour le réparer.

Elle continua alors son cours aussi pourrit que sa théorie. Elle parla d’une période qu’il connaissait maintenant. Il regarda dans la direction de Perséphone. Elle l’avait fait travailler sur ce sujet car elle savait que c’était le cours qu’ils allaient aborder. Mais tout lui laissait penser que cette femme n’allait pas aborder la Révolte des Gobelins comme Sephy lui avait montré. Lorsqu’elle dit « point de vu réaliste ». Kalisz rebaissa sa tête et gribouilla de plus belle. Il avait envie d’exploser. Il l’a sentait vraiment mal cette cousine de frères Black. Quand il releva la tête il vit un boule de poile vagabondé dans la salle. Il avait reconnu l’animal, un fou, aussi téméraire que sa maîtresse : Sonie le chat de Lina. Il jeta alors un regard sur sa confidente, elle semblait s’agitait à essayer de faire revenir son compagnon. Le félin alla se cacher dans les jambes de Jason. Il n’était peut être pas aussi fou ce chat il sentait que montré ses moustaches n’allaient surement pas lui porter bonheur. Mais eux, tous ces pauvres élèves, où irions nous nous caché quand elle décidera de commencé à casser ses jouer. Il se demanda comme une telle taré avait put être embauché pour enseigner à Poudlard. Est ce l’administration était d’accord avec les idées des mages noirs à l’extérieurs ? Il ne voulait pas croire que cela pouvait être possible.
C’est alors qu’une voix répondit au Serpent. Kalisz redressa de nouveau la tête en direction du son :


« La révolte des gobelins en 1612 qui fit à mon gout couler trop de sang sorcier et pas assez de sang gobelins. »

Il vit le visage du Serpentard brillait de mille feu, son visage resplendissait le bonheur comme si c’était Noël et qu’il ouvrait son cadeau. Kalisz observa et serra des dents. Il se souvint du témoignage que lui avait faire lire sa voisine, d’ailleurs que faisait elle ? Il la regarda, elle avait toujours son visage de marbre blanc si beau. Kalisz attrapa alors un autre morceau de parchemin sans gribouillis et écrivit rapidement :

« J’ai l’impression qu’on va finir comme ce pauvre gobelin torturer du témoignage, si ce n’est pas par des sorts se sera par les jeux idiots de cette prof’. Tu ne veux pas dire que tu es malade et je t’accompagne à l’infirmerie pour manquer une bonne partie du cours ? »


Alors que Sissi, son amie d’enfance faisait son entré sur la scène il se mit de dos à Sephy, en passant ses jambes de l’autre côté de la chaise pour mieux observé la scène qui se déroulé entre Black et ce fou de Lestrange. Si Black avait un statut dans la famille des sang pure, les Lestrange aussi. Kalisz se souvint avoir vu ce nom dans la bibliothèque familiale sur la tapisserie du dôme. XVIIIe siècle, un Lestrange c’était marié avec une Agnodice. Kalisz la plein, il savait que sa famille même pure cherchait souvent à faire des mariage hors de la Grèce afin d’évité les fous comme cette tante qui c’était faite brûler de son plein grès pendant la chasse au sorcière. Mais ce n’était pas toujours le cas des familles de sang pur anglaise, qui s’était toujours sentit supérieur de part leurs aristocraties. Les Grecques eux étaient beaucoup plus tolérant, n’oublions pas que un de ses grands oncles s’appelait Aristote.

Kalisz attendit alors la réaction des deux serpents face à la contradiction que leur servait sa petite princesse russe. Elle aussi devait être quelque peut exaspéré par ce comportement car son sang était comme le sien. Leur histoire était presque la même. De toute façon combien d’enfant de sa génération avait été chassé de la branche pure de la famille car leur mère avait tous caché ? Kalisz fut quand même content de se dire qu’il n’y avait pas que des fous dans cette assemblée.

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MessageSujet: Re: Première leçon.. [élève de cinq, six, septième années, toutes maisons. ]   Première leçon.. [élève de cinq, six, septième années, toutes maisons. ] - Page 2 Icon_minitimeJeu 18 Aoû - 19:53

Le cours avait débuté depuis quelques minutes et déjà je sentais l’atmosphère de la pièce s’alourdir. Je m’étais assise pour une fois au troisième rang, au lieu du premier. Je n’avais pas la moindre envie de me retrouver si proche de la remplaçante du professeur Binns. Très peu pour moi ! Les affiches qu’elle avait placardées contre les murs de la salle de classe témoignaient déjà assez de ses idéaux personnels pour que je ne puisse en tenir compte. Cette femme semblait être une ancienne serpentarde, pure et dure. Tout ce que j’espérais, c’était qu’elle ne ferait pas de mes cours préférés de véritables séances de tortures. Bon sang, mais qu’avait-il pris à Dumbledore d’embaucher une femme comme ça ! Lorsque je fus assise, je vis qu’elle avait déposé des parchemins sur la table, et quand je lus les questions posées je restais bouche bée. En quoi la nature de notre sang avait-il une quelconque importance ? C’était stupide ! Et tout cela puait les préjugés des familles de sangs-purs. Je levai la tête pour voir les réactions des serpentards, certains souriaient, narquois. Quelle bande de… ! Mais mes pensées furent interrompues lorsqu’une silhouette familière apparue dans mon champ de vision. Ce n’était autre que Kalisz. Le gryffondor qui hantait mes pensées depuis quelques temps. Après notre cours particulier ensemble, qui finalement c’était terminé en cours de Vol improvisé. Ses yeux bleus clairs se tournèrent vers moi, et un sourire chaleureux éclaira son visage aux traits fins mais fermes. Il s’assit à côté de moi, et mon cœur fit un bond. Oh non. En plus sa petite-amie était juste devant nous. Génial…

« Tu as piqués ma place, mais je ne t’en veux pas, il vaut mieux être en bonne compagnie pour affronter ce … Gorgone … » dit-il.

Je souris largement, et posai la plume que j’avais sortis, me tournant vers lui.


« Navré, mais je ne me sentais pas le courage de me retrouver près de cette…Gorgone tu dis ? Non..je penses plutôt à un Boursouf à cornes… » renchéris-je avec un sourire entendu.

La jeune femme se présenta alors et je reportai mon attention sur elle. Ses cheveux bouclés descendaient en cascade sur ses épaules fines, et elle avait une figure étonnamment enfantine, pourtant elle avait des traits durs, pas un seul sourire aimable n’était apparu sur ses lèvres depuis le début de ce cours. Elle expliqua alors les raisons de sa venue. Binns prenant des congés ? Étrange en effet, et je ne devais pas être la seule à le penser. Les réactions ne se firent d’ailleurs pas attendre. Je reconnus Ellianne Jackson, une gryffondor, qui leva la main pour remettre en question la question sur le sang. Bonne initiative. De ce pas, une autre gryffondor, que j’avais souvent vu aux côtés de Kalisz mais dont je ne connaissais pas le nom intervint. Si Ellianne avait employé un ton poli et respectueux, elle, ne semblait pas se préoccuper de cela. Ses paroles transpiraient l’insolence, et je grimaçai en pensant aux conséquences d’une telle remarque. J’étais d’accord avec elle, mais mieux valait être plus intelligent que cette femme et contrer ses idéaux par des faits et non par des avis personnels, car de toute manière elle n’écouterait pas ce que nous en pensions. Cette Bellatrix ne tarda pas à répondre aux deux jeunes filles. Et sa réponse me donna envie de vomir. J’étouffai un grognement. Il était à présent clair qu’elle était une ancienne serpentarde, et avant tout chose, une sang pur ! A mes côtés, Kalisz semblait bouillonner, et je le comprenais. Il attrapa un bout de parchemin, qu’il avait sortis de ses affaires, et gribouilla pour passer ses nerfs. Le papier se retrouva alors noirci d’encre. Je n’aimais pas quand il s’énervait. Ses traits devenaient soudain si durs, et ses yeux si clairs et lumineux s’assombrissaient comme un ciel oragé, grondant, frappant quiconque d’une foudre mortelle. Il leva alors la main, mais n’attendit pas qu’elle lui donne la parole.


« Je suis totalement d’accord avec vous Madame. Je comprends que vous vouliez savoir si nos parents se sont marier entre cousins ou cousines, bref par famille proche car dès ce moment il est vrai que la branche devient pourrit par un champignon et que du coup la ligné qui suit sera aussi pourrit que la base vu qu’elle sera basé sur l’inceste. Vous avez raison Madame c’est connu, la plus part des famille de sang pure se mariant entre eux il est normale que vous cherchiez les tares génétiques. Je suis totalement d’accord avec vous ! » fit-il.

Ca ne plairait pas à la « gorgone ». Il n’avait pas relevé le visage vers le professeur, et continuai ses gribouillages, bientôt ce serait la table qu’il griffonnerait, tellement ses gestes étaient frénétiques. Je le comprenais. Cette femme était un monstre. Me contenant, je glissai une main vers Kalisz, la posant sur celle qui ne cessait de gribouiller sur le parchemin qui allait vraiment finir par être troué sous les assauts répétitifs du gryffondor. Je serrai ses doigts, essayant de l’apaiser pour qu’il se calme. Je ne le regardai pas, et fixai Bellatrix Black d’un regard sans expression. Je pris alors la parole sans lever la main. Peu importait de toute façon d’avoir la permission de parler, elle ne serait pas contente de toute manière.


« Par définition un sorcier est une personne possédant des pouvoirs magiques. Que l’enfant ait des parents moldus, ou sorciers, il est question de la même forme de magie. Les sorciers acquièrent leur magie par des gènes, les enfants de moldus ont forcément des sorciers dans leur arbre généalogique qui leur ont transmis ces pouvoirs. Que cela vienne d’une branche éloignée de la famille, ou de nos parents proches, nos pouvoirs sont les mêmes. C’est notre façon de nous en servir qui est différente. Certains sorciers nés d’une union moldue ont beaucoup plus de facilité à apprendre la magie que certains autres élèves au sang dit « pur ». Chaque cas est différent. On ne peut pas discriminer un groupe de personnes parce que leur sang est dit « impur ». Quant à ce que vous qualifié de « tare », je dirais plutôt que c’est les unions entre cousins qui créaient des tares. La consanguinité n’a jamais été une bonne chose, cela entraîne une instabilité ainsi qu’une nature parfois détraquée. Mais je suis d’accord avec vous, ce sont nos actes qui définissent ce que nous sommes. Je pense alors que les vôtres définissent parfaitement ce que vous êtes. »

J’avais parlé d’un ton parfaitement poli, comme si je récitai une partie d’un livre. J’avais lu beaucoup de choses là-dessus. Et mes paroles étaient fondées sur des faits réels. Je ne parlais pas sans savoir. Ma main était toujours sur celle de Kalisz, la caressant sans m’en rendre compte pour apaiser sa colère. Lorsque je me rendis compte de mon geste, je retirai ma main et la posai sur ma cuisse, sous la table. Je n’osais même pas le regarder, et heureusement pour moi le rouge ne me monta pas aux joues. La jeune femme vint alors ramasser tous les formulaires, et j’en profitai pour sortir mon manuel d’Histoire de la Magie, évitant toujours les yeux bleus envoûtants du rouge et or.

« Pour débuter cette première période de cours que nous allons passer ensemble, commença-t-elle d'une voix presque inaudible, nous travaillerons sur les événements s'étant déroulé à partir de l'année 1600.. Je me doute que votre ancien professeur vous ai déjà parlé de cette période, cependant.. j'aimerais revenir dessus pour que vous ayez.. comment dire cela sans paraître sur de soit.. pour que vous ayez un autre point de vue, un point de vu que je qualifierais de plus réaliste, de plus juste ! -Bellatrix marqua une pause- Car beaucoup de choses ont été passé sous silence, pour - comme disent ceux qui se croient savant -, vous apprendre la tolérance.. Haha ! ricana-t-elle d'une voix aiguë comme si sa remarque avait été particulièrement drôle. La tolérance, voyez vous ça ! - A présent, Bellatrix ne parlait plus du tout d'une voix silencieuse, elle s'exprimait fort, à la façon d'une militante récitant son serment. - Sauf que nous ne pouvons pas être tolérant avec ce genre de créature ! Car oui, durant cette longue période, beaucoup de sang de sorcier a été versé, et tout ça à cause d'une sale petite vermine ne respectant pas ses ainés ! »

Je pris une grande inspiration pour calmer mes nerfs. Elle arrangeait tout à sa sauce. Et tentait de nous inculquer ses propres théories malsaines. Stupide. Raciste. Monstrueuse. Trois mots qui pouvaient la qualifier à merveilles. Hélas, il était difficile de dialoguer avec ses personnes. Elles étaient tellement convaincues de ce qu’elles disaient qu’il était impossible de leur faire changer d’avis. Qui plus est, elle semblait véritablement en phase avec ses « croyances » que je jugeais infondées et stupides, dignes de vieux sorciers rabougris et séniles. En fait, elle me faisait pitié ! Oui, car elle suivait sans réfléchir les choses que ses propres parents, oncles, tantes, et grands-parents lui avaient appris. Elle ne cherchait pas à remettre en question son éducation, et n’était même pas assez intelligente pour voir que tout ceci était malsain, cruel, et raciste. Du grand n’importe quoi ! Je ne comprenais même pas comment certains pouvaient se mettre ses idioties en tête. Comme je l’avais annoncé à Kalisz lors de nos cours particuliers, notre prochaine leçon était sur les révoltes des gobelins. Oh non ! Cette leçon allait être particulièrement horrible avec une telle femme pour nous apprendre les faits réels. Elle allait tout arranger à sa manière en faisant passer les gobelins pour des êtres affreux. C’était tout le contraire, les sorciers avaient abusé de leur pouvoir en se considérant plus dignes qu’eux. Encore une bande d’imbéciles. Notre histoire était remplie de ce genre de choses. Des erreurs, et des bains de sangs inutiles.

Rodolphus Lestrange ne perdit pas de temps pour répondre évidemment. Et sa réponse était digne d’un sang pur sans états d’âmes. Il était apparemment sur la même longueur d’onde de la professeur !


« La révolte des gobelins en 1612 qui fit à mon gout couler trop de sang sorcier et pas assez de sang gobelins. » dit-il.

Pas assez de sang de gobelins ?! Alors que j’étais en train d’ouvrir mon livre, bien que ce n’était en réalité pas nécessaire étant donné que je connaissais déjà le sujet à la perfection. Enfin, si l’on peut dire. J’espérais avoir déjà bien préparé Kalisz à cette leçon, même si notre cours particulier avait été interrompu. Je me dis alors que nous serions obligé de reprendre nos cours ensemble, car il était hors de question que je le laisse apprendre ce qui sortirait de la bouche de cette femme.Alors que j’écoutais les commentaires qui suivirent, je sentis un bout de papier contre ma main. Je me tournai vers Kalisz, et vis qu’il avait écrit sur un autre morceau de papier.

J’ai l’impression qu’on va finir comme ce pauvre gobelin torturer du témoignage, si ce n’est pas par des sorts se sera par les jeux idiots de cette prof’. Tu ne veux pas dire que tu es malade et je t’accompagne à l’infirmerie pour manquer une bonne partie du cours ?

Je souris en lisant son mot. Il se détourna cependant pour écouter Sylviana, une serdaigle que je connaissais très bien. Elle m’avait ôté les mots de la bouche, c’était certain ! J’aurais répliqué la même chose, si je n’avais pas été distraite par Kalisz. D’ailleurs je pris la plume, et lui répondais.

Tu plaisantes ? Je suis sûr que si l’un de nous deux étaient en train de s’étouffer en ce moment-même, elle nous regarderait sans bouger le petit doigt. Je crois sérieusement que nous allons finir par sécher les cours d’Histoire. A moins que Binns ne reviennent nous sauver de cette Gorgone affamée ! Je n’ai jamais autant aimé les fantômes jusqu’à maintenant.

Une fois ma réponse terminée, je posai ma plume sur la table, et me mordis la lèvre. Kalisz était dos à moi, et je me surpris à l’observer. Mes yeux glissèrent sur les muscles tendus de son dos, en dessous de sa chemine d’uniforme, il avait les épaules tellement carrées. Fort. Musclé. Il avait tout de ses statues représentant la force, la virilité, la puissance. Je me repris cependant, et tapotai son dos discrètement, sur le côté, pour que personne ne le voit et surtout pour l’avertir que j’avais répondu à son mot que je cachais sous ma main droite. J’attendis alors qu’il se retourne.

Je sentais que les cours d’Histoire n’allaient plus être de tout repos…







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MessageSujet: Re: Première leçon.. [élève de cinq, six, septième années, toutes maisons. ]   Première leçon.. [élève de cinq, six, septième années, toutes maisons. ] - Page 2 Icon_minitimeLun 19 Sep - 10:09

HJ : désolé je viens d'arriver, je prend en cours de route >_<

Ce matin en me réveillant j'avais une fois n'est pas coutume les cheveux dans un désordre monstre. Pas grave, le plus important c'est que j'avais histoire de la magie avec le professeur somnifère, alias Binns. Comme d'habitude j'étais en retard, mais de toute façon le vieux fantôme ne remarquerais rien et je pourrais aller tranquillement au fond, transformer un objet en oreiller et finir ma petite sieste.

Encore un gateau dans la bouche et venant d'achever de boutonner ma chemise, car oui je fini de m'habiller en courant, j'entrais sans frapper dans la salle, m'attendant à voir toute une partie de la classe dormir. A la place, certain semblait avoir une légère crainte, d'autre du dégout, et d'autre encore satisfait.

Une femme étrange ce tenait devant nous, j'étais certain de l'avoir vu quelque part. Je m'installait cependant et vis un formulaire qui me fit froncer les sourcils.

Nom: Köln
Prénom: Aaron
Sang: Pur.
Profession parents: Père, travail au ministère, langue de Plomb. Mère : Tiens un magasin de potons, poison et créer des malédiction à l'allée des embrumes.

Je précisais dans une petite anotation qu'il n'y avait pas de quoi en être fier et écoutais ce qui ce disais autour de moi.

-Pour débuter cette première période de cours que nous allons passer ensemble, nous travaillerons sur les événements s'étant déroulé à partir de l'année 1600.. Je me doute que votre ancien professeur vous ai déjà parlé de cette période, cependant.. j'aimerais revenir dessus pour que vous ayez.. comment dire cela sans paraître sur de soit.. pour que vous ayez un autre point de vue, un point de vu que je qualifierais de plus réaliste, de plus juste ! -la prof ce stoppa un peu- Car beaucoup de choses ont été passé sous silence, pour - comme disent ceux qui se croient savant -, vous apprendre la tolérance.. Haha ! ricana-t-elle d'une voix aiguë comme si sa remarque avait été particulièrement drôle. La tolérance, voyez vous ça ! - A présent, Bellatrix ne parlait plus du tout d'une voix silencieuse, elle s'exprimait fort, à la façon d'une militante récitant son serment. - Sauf que nous ne pouvons pas être tolérant avec ce genre de créature ! Car oui, durant cette longue période, beaucoup de sang de sorcier a été versé, et tout ça à cause d'une sale petite vermine ne respectant pas ses ainés !

Les yeux ahuri je la fixais comme on regarde une créature étrange, horrible. Comment pouvait-elle tenir de tel propos comme si de rien n'étais? Je regardais tour à tour Sirius et cette femme en me disant qu'il n'avait rien en commun du tout. Sirius était un farceur et absolument contre ce genre d'idée alors que cette... cette chose l'encourageait et que des élèves semblait d'accord !! Impossible.

Comme à chaque fois que j'entendais de tel mots mon sang ne fis qu'un tour et mon regard était encore plus noir que d'habitude alors que certaines images me passait devant les yeux, j'étais totalement absent du cours malgré ma présence physique. Un élève, je ne sais lequel approuva les mots de la prof, et plus dans un réflex que par volonté je donnais un violent coup dans la table.


"Comment vous pouvez dire ça? Les gobelins ont eu raison de ce révolté, ils sont traités comme des moins que rien par des imbéciles qui pensent être plus pur que les autres alors que ces mêmes sorciers sont incapables d'executer certains sorts basique. Pas étonnant, à force de vous marier entre cousins ça pourris la magie mais aussi le cerveau la preuve! Il n'y a qu'à voir ce que l'on entend par certain ! Franchement j'ai honte d'être sang-pur en entendant de tels ineptie..."

Calme... on ce calme. Je respire un bon coup et la peur reprendre le dessus à cause de mes mots alors que je remet ma table en place, je n'avais même pas vu qu'elle avait valdinguer aussi loin. En tout cas, vu l'air folle de la prof, ça n'allait pas en rester là.
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MessageSujet: Re: Première leçon.. [élève de cinq, six, septième années, toutes maisons. ]   Première leçon.. [élève de cinq, six, septième années, toutes maisons. ] - Page 2 Icon_minitimeLun 26 Sep - 13:02

    Madydy n'avait pas l'envie de finir sa fiche. D'après la "PROFESSEUR" c'était des informations très importante car le sang " faisait l'homme" et c'était sans doute la chose la plus stupide qu'elle n'avait jamais entendu! Juger une personne à son sang était une forme de racisme, car cela était comme juger un homme de couleur ou une personne handicapé. Madison était outrée par ce que cette femme disait. Même en bonne Serpentard, jamais la jeune fille ne dirait ce genre de chose, même si il lui arrivait plusieurs fois de pensée des choses immonde à propos de sa famille qui n'était pas entièrement sorcière, non ça n'était pas dans ses gênes, sa mère avait été marié à un moldu et elle l'avait aimée. Du coup, elle ne pouvait pas les renier. Cela ne lui avait pas été forcer, c'était un choix pur et simple.

    "Vois tu, s'il y a une tare chez l'un de ses parents, on retrouve forcément cette tare chez lui. Si la base de l'une des branches de l'arbre est pourrit par un champignon, c'est toute la branche naissante qui le sera alors également"

    *Une tare!!!*

    Voilà que maintenant elle était considéré comme une tare. Pas que la jeune fille le prennait pour elle personnellement, mais dans les circontances qui faisait qu'elle était à Serpantard et de sang mêlé ... ce faire litéralement insulté "d'anomalie" faisait assez mal et était assez mal vue dans la maison à serpent. Surtout avec ce qu'il se passait au dehort du collège, certaines personnes en venait à se demander si cela pouvait aussi arrive à Poudlard. Beaucoup cachait leurs vrais identitées de peur d'être une potentielle victime.

    L'ambiance de la classe était plutôt lourde et la présence de certaines personne n'arrangeait malheureusement pas les choses. Entre une qui cherchait son chat, quelques autres qui se prennaient pour des quaïds des ténèbres (si cela était juste) en rajoutant que si on se mariait pas entre cousins la branches finirait par pourrir sévert. Ce qui n'était pas faux car les moldus avaient fini par découvrir que dans trois cas, avoir des enfants avec un membres de sa famille proche était atteind d'une maladie.

    De ce qui était du cour, Madydy ne pouvait pas vraiment dire qu'elle suivait. Elle était plutôt observant ses camarades de classe. Son poing sous le menton, sentant sa tête lourde de pensées vide. La serpentard ne savait pas si c'était cette ambiance de pensenteur, de stresse ou simplement le fait que Madame Bellatrix lui servait de prof d'histoire de la magie, mais sa concentration avait du mal fonctionner. Même Severus pour une fois ... elle sans moquait.

    Un coup sec et violent la aisait sortir de ses speudos songe. Un asiatique jaune venait de violenter sa table. Madison ouvrait grand ses yeux, *Enfin un peu d'action dans ce monde de faux-cul.*

    "Comment vous pouvez dire ça? Les gobelins ont eu raison de ce révolté, ils sont traités comme des moins que rien par des imbéciles qui pensent être plus pur que les autres alors que ces mêmes sorciers sont incapables d'executer certains sorts basique. Pas étonnant, à force de vous marier entre cousins ça pourris la magie mais aussi le cerveau la preuve! Il n'y a qu'à voir ce que l'on entend par certain ! Franchement j'ai honte d'être sang-pur en entendant de tels ineptie..."

    Madison ne pouvait s'empêcher de pouffer de rire. Oh! ce n'était pas la première fois qu'elle entendait un "sang-pur" se plaindre d'être un "sang-pur", mais cela était toujours amusant de voir confronter les pur et dur et les pur et simple. En même temps, elle avouait que ses paroles n'était pas bien réfléchit, il parlait sous la colère et certains mots étaient enfantins et maladroit. C'était plutôt charmant.
    Sur ce, elle n'avait rien à ajouter, bien qu'il y avait encore grand chose à dire à ce sujet, elle préférait laisser les autres parler. Prendre la parole n'était pas vraiment dans ses habitudes.


Dernière édition par Madison Doll le Mar 27 Sep - 20:21, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Première leçon.. [élève de cinq, six, septième années, toutes maisons. ]   Première leçon.. [élève de cinq, six, septième années, toutes maisons. ] - Page 2 Icon_minitimeMar 27 Sep - 10:07

    Je restais là, interdit face aux propos de ma cousine. Tout semblait normale pour elle. Je gardais la tête baissé, essayant de refouler l'envie de la stupéfixier sur place pour eviter qu'elle ne parle de ce qu'elle ne devrait pas parler. Elle serait bien capable de me prendre en exemple cette furie! Après avoir ramassé les feuilles, les conversations fusait de toutes parts et je pouvais discerner facilement que certaines personnes m'observait. Elle est folle. Y'a pas d'autres mot! Je me deamnde pourquoi Dumbledore a eu l'envie de la recruter! Il sait très bien de quoi elle est capable, suffit de regarder comment elle était à Poudlard! Sérieusement!
    Elle prit la parole, d'une voix à peine audible. Elle voulait parler de la révolte des Gobelins apparemment. Mais ces mots firent le tour de la classe et les réactions ne tardèrent pas à fuser. Je me retenais littéralement de ne pas la prendre comme cobaye pour m'entrainer sur des sorts complexes de DFCM. Je gardais la tête baissé, fixant ma plume posée sur la table. James était à côté de moi et je pouvais sentir que cela ne lui plaisait pas. De toute manière à qui cela pouvait plaire? Plusieurs personnes prirent la parole sans demander l'autorisation. Ouh, ca va barder. Bellatrix est comme ma mère mais avec la fougue de la jeunesse en pire et elle ne connait pas de limite. Du coup elle est cent fois pire que ma mère. Bref, une vraie furie. J'écoutais attentivement à tour de rôle les voix qui prenait la parole. Les avis semblaient partagés. Normal me dirait vous. Cela finira entre un débat entre Serpentard et Gryffondor cette histoire... Sauf qu'une voix retenait mon attention. Celle de Rodolphus Lestrange. Il affirmait qu'il était d'accord avec elle... Je le fusillais du regard. Comment pouvez t-on être d'accord avec ça? C'est irrationnel! Elle est en train de dire que les Sorciers sont supérieurs à d'autre créatures tel que les gobelins. Je repensais à Moony. Comment pouvez vous dire que Remus est... Attendez... Si ma sœur fait partie du corps enseignant, et que Mac go est au courant... Il faut à tout prix que je sache si c'est tout le corps enseignant qui le sait ou si c'est simplement le directeur et la directrice de maison sinon, Remus risque d'en faire les frais... Une table vola non loin de moi ce qui eu le don de m'extirper de mes pensées. Le jeune homme s'était levé et parlait d'une voix forte, colérique.

    "Comment vous pouvez dire ça? Les gobelins ont eu raison de ce révolté, ils sont traités comme des moins que rien par des imbéciles qui pensent être plus pur que les autres alors que ces mêmes sorciers sont incapables d'exécuter certains sorts basique. Pas étonnant, à force de vous marier entre cousins ça pourris la magie mais aussi le cerveau la preuve! Il n'y a qu'à voir ce que l'on entend par certain ! Franchement j'ai honte d'être sang-pur en entendant de tels ineptie..."

    Oye! Fait gaffe à ce que tu dit parce que ça, ca a le don d'énerver ma cousine... Le sang, c'est un sujet très sensibles avec elle. Enfin, je crois. Je me souviens de certaine réunion mais je crois que je l'évitais comme la peste après l'histoire du dragon. Bref. J'ai hâte de voir la réaction de ma chère et tendre cousine. Cousine qui d'ailleurs semblait furax. Mais n'empêche qu'il a pas tord. J'eus un petit sourire, premier sourire depuis que je suis rentré dans cette salle. Il suffit de voir Evans et Goyle. Cela en fait une sacré comparaison. N'empêche je n'ai pas aimé ce qu'il venait de dire puisque cela m'implique aussi. Il est en train de dire que je suis aussi fou qu'elle! Nan mais n'importe quoi! D'accord, j'ai un penchant pour les blagues et les mauvais coups. J'aime quand on me regarde (égocentrique? A peine!) mais cela ne veut pas dire que je suis aussi taré qu'elle! Et puis suffit de voir comment je suis avec Evans pour voir que j'en ai rien à faire du sang! Rien que ma présence à Gryffondor en est la preuve!
    J'attendais de voir la réaction de ma cousine. Cela risque fort de devenir intéressant...
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MessageSujet: Re: Première leçon.. [élève de cinq, six, septième années, toutes maisons. ]   Première leçon.. [élève de cinq, six, septième années, toutes maisons. ] - Page 2 Icon_minitimeMar 27 Sep - 12:26


« Annonce d'un poste »


Voilà, j'arrête la deuxième partie ici pour pouvoir poster. Il y a eu beaucoup d'action donc il faut intervenir avant que ce soit trop lourd et que le sujet ne veuille plus rien dire. Je vais faire mon RP le plus vite possible. De plus, je ne sais pas si je dois continuer l'histoire de Sonnie le chat vu que son propriétaire n'est plus sur le forum. Dites moi ce que vous en pensez par message privé.

Bien à vous.
Mademoiselle-qui-fait-le-professeur-Black



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